Indice mondial de l’innovation 2015 : la Suisse, le Royaume-Uni, la Suède, les Pays-Bas et les États-Unis d’Amérique en tête
Londres, Royaume-Uni,
17 septembre 2015
PR/2015/780
Communiqué commun de l’OMPI, de l’Université Cornell, de l’INSEAD et des experts partenaires participant à l’édition 2015 de l’indice mondial de l’innovation, à savoir la Confédération des industries indiennes (CII), du et A.T. Kearney et IMP³rove – European Innovation Management Academy
La Suisse, le Royaume-Uni, la Suède, les Pays-Bas et les États-Unis d’Amérique sont les cinq nations les plus innovantes au monde selon l’Indice mondial de l’innovation 2015 , alors que la Chine, la Malaisie, le Viet Nam, l’Inde, la Jordanie, le Kenya et l’Ouganda font mieux que les autres pays de même statut économique.
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L’Indice mondial de l’innovation 2015 passe en revue les “politiques d’innovation efficaces du point de vue du développement” et met en évidence de nouveaux moyens permettant aux décideurs des économies en développement de stimuler l’innovation et renforcer la croissance en s’appuyant sur les atouts locaux et en mettant en place un environnement propice à l’innovation au niveau national.
“L’Innovation est riche de promesses en termes de croissance économique pour les pays à tous les stades de développement. Toutefois, ces promesses ne se concrétisent pas automatiquement," a déclaré le Directeur général de l’OMPI, M. Francis Gurry. “Chaque nation doit trouver la juste combinaison de politiques pour mobiliser le potentiel novateur et créateur inhérent à son économie”, a-t-il ajouté.
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Francis Gurry, Directeur général de l’OMPI
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Soumitra Dutta, coauteur (Université Cornell)
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Bruno Lanvin, coauteur (INSEAD)
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La huitième édition de l’Indice mondial de l’innovation a été lancée au Royaume-Uni (Photos sur Flickr), qui est passé de la dixième place en 2011 à la deuxième cette année. La baronne Neville-Rolfe, ministre chargée de la propriété intellectuelle et sous-secrétaire d’État parlementaire du Ministère des entreprises, de l’innovation et des compétences, a déclaré : “Le Royaume-Uni a une remarquable tradition d’excellence dans la sphère des sciences et de la recherche : avec moins de 1% de la population mondiale, nous produisons 16% des meilleures publications scientifiques. Cette qualité de la recherche est un facteur essentiel ayant permis au Royaume-Uni de conserver sa deuxième place dans l’Indice mondial de l’innovation 2015. Le gouvernement est résolu à faire de la Grande-Bretagne la meilleure place européenne pour innover, breveter de nouvelles solutions et créer et développer de nouvelles entreprises.”
Publié conjointement par l’Université Cornell, l’INSEAD et l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI), l’Indice mondial de l’innovation passe en revue 141 économies du monde entier, utilisant 79 indicateurs pour évaluer leurs capacités d’innovation et dégager des résultats quantifiables.
ClassementTous les classements 2015
- Suisse (numéro 1 en 2014)
- Royaume-Uni (2)
- Suède (3)
- Pays-Bas (5)
- États-Unis d’Amérique (6)
- Finlande (4)
- Singapour (7)
- Irlande (11)
- Luxembourg (9)
- Danemark (8)
Globalement, le groupe des 25 premiers – tous des pays à revenu élevé – change peu par rapport aux précédentes éditions, ce qui montre que les leaders sont difficiles à rattraper.
Il est toutefois à noter que cette année voit la République tchèque (24e) rejoindre le groupe des 25 premiers et l’Irlande (8e) entrer dans le top 10. En outre, la Chine (29e) et la Malaisie (32e) affichent des résultats semblables à ceux des 25 premiers pays à revenu élevé, y compris dans des domaines tels que le financement de la mise en valeur des ressources humaines et de la recherche-développement.
En termes de qualité de l’innovation – mesurée par les résultats universitaires, la portée des articles d’érudition et la dimension internationale des demandes de brevet – quelques économies sortent du lot. Les États-Unis d’Amérique et le Royaume-Uni restent en tête, principalement en raison de la renommée mondiale de leurs universités, suivis de près par le Japon, l’Allemagne et la Suisse. Parmi les économies à revenu intermédiaire, les premières places sont occupées par la Chine, le Brésil et l’Inde, la Chine distançant de plus en plus ses poursuivants.
Soumitra Dutta, doyen de la faculté Anne et Elmer Lindseth à la Graduate School of Management Samuel Curtis Johnson de l’Université Cornell et coauteur du rapport, souligne que “La qualité de l’innovation est un facteur important. Pour rester à l’avant-garde de la course mondiale à l’innovation, il est essentiel de créer des universités de classe mondiale et d’investir dans la recherche.”
Bons élèves de l’innovation
Les économies dont le produit intérieur brut dépasse celui des pays de la même catégorie sont qualifiées de “bons élèves de l’innovation” dans le rapport.
Parmi ces bons élèves figurent un certain nombre d’économies à faible revenu, dont les résultats atteignent désormais des niveaux auparavant réservés au groupe des pays à revenu intermédiaire de la tranche inférieure. L’Afrique subsaharienne se distingue particulièrement, avec le Rwanda (94e), le Mozambique (95e) et le Malawi (98e) qui se hissent au rang des économies à revenu intermédiaire. En outre, le Kenya, le Mali, le Burkina Faso et l’Ouganda obtiennent des résultats qui dépassent d’une manière générale ceux des autres économies de même niveau de développement.
Ces bons élèves enregistrent des résultats en hausse dans le domaine de l’innovation grâce aux améliorations apportées à leur cadre institutionnel, à leur main-d’œuvre qualifiée du fait d’un accès plus ouvert à l’enseignement supérieur, à une infrastructure de meilleure qualité, à une intégration plus marquée au sein des marchés de l’investissement et du crédit mondial, et à un environnement commercial moderne — même si les progrès dans ces domaines ne sont pas homogènes d’un pays à l’autre.
Bruno Lanvin, directeur exécutif chargé des indices mondiaux à l’INSEAD et coauteur du rapport, souligne ceci : “Dans toutes les régions du monde, l’esprit d’entreprise, le sens de l’initiative et la volonté politique font la différence en ce qui concerne l’innovation. Les barrières tombent, et les bons élèves affichent des performances supérieures à ce que leur revenu par habitant laisserait supposer. Leur réussite est un exemple pour d’autres pays qui sont incités à les imiter, faisant de l’innovation un moteur réellement mondial de croissance durable.”
Politiques d’innovation efficaces aux fins du développement
Les politiques d’innovation jouent un rôle crucial dans les économies émergentes et en développement, où la promotion de l’innovation est au centre des plans et stratégies de développement et fait partie intégrante de la réponse aux problèmes sociaux les plus pressants tels que la pollution, la maladie et la pauvreté.
Il ressort de l’Indice mondial de l’innovation 2015 qu’une politique d’innovation bien coordonnée, assortie d’objectifs clairs et ancrée dans un environnement institutionnel adapté est un gage de réussite. Il apparaît en outre que la complexification croissante du monde de l’entreprise – liens entre l’entreprise et la science et ses institutions, filiales étrangères et recrutement des chercheurs – représente souvent la principale difficulté dans les économies en développement. Alors que des ressources importantes sont souvent consacrées à attirer les multinationales et l’investissement étranger, les décideurs des pays en développement devraient examiner les moyens de capturer et de maximiser les retombées positives pour l’économie locale.
Un axe insuffisamment exploré dans de nombreux pays en développement consiste à orienter l’innovation et la recherche vers des solutions adaptées au contexte, qui ne produiront peut-être pas des technologies révolutionnaires et ne feront sans doute pas partie des chaînes de valeur globales existantes mais qui apporteront des réponses aux problèmes locaux. La priorité est de trouver des moyens novateurs de surmonter les difficultés rencontrées par les pays en développement dans les domaines de l’énergie, du transport et de l’assainissement, et d’obtenir un meilleur rendement de l’artisanat et des industries de la création au niveau local.
Leaders de l’innovation au niveau régional *
Rang par région | Pays | Classement dans l’Indice mondial de l’innovation 2015 |
---|---|---|
Asie centrale et du Sud | ||
1 | Inde | 81 |
2 | Kazakhstan | 82 |
3 | Sri Lanka | 85 |
Europe | ||
1 | Suisse | 1 |
2 | Royaume-Uni | 2 |
3 | Suède | 3 |
Amérique latine et Caraïbes | ||
1 | Chili | 42 |
2 | Costa Rica | 51 |
3 | Mexique | 57 |
Afrique du Nord et Asie occidentale | ||
1 | Israël | 22 |
2 | Chypre | 34 |
3 | Arabie saoudite | 43 |
Amérique du Nord | ||
1 | États-Unis d’Amérique | 5 |
2 | Canada | 16 |
Asie du Sud-Est et Océanie | ||
1 | Singapour | 7 |
2 | Hong Kong (Chine) | 11 |
3 | République de Corée | 14 |
Afrique subsaharienne | ||
1 | Maurice | 49 |
2 | Afrique du Sud | 60 |
3 | Sénégal | 84 |
* Non compris les pays pour lesquels les données sont insuffisantes.
Asie centrale et du Sud
L’Inde demeure en tête du classement régional pour l’Asie centrale et du Sud cette année, suivie par le Kazakhstan et Sri Lanka, qui a nettement amélioré sa position.
“Le GII met en lumière la surperformance régulière de l’Inde dans le domaine de l’innovation par rapport à son niveau de développement”, déclare Chandrajit Banerjee, directeur général de la Confédération des industries indiennes (CII). “Nous saluons les nouvelles politiques en matière d’innovation mises en place par le nouveau Gouvernement indien, qui ne sont pas encore pleinement prises en compte dans les données utilisées dans le GII. Certaines de ces mesures ont déjà eu une incidence positive sur le renforcement de la dynamique d’innovation et l’esprit d’entreprise du pays, et cette tendance devrait s’amplifier dans les mois et les années à venir.”
L’Asie centrale et du Sud n’a pas encore réalisé son plein potentiel : la plupart des pays de la région ne font pas partie des 100 premiers du GII. Cependant, les économies qui arrivent en tête des classements régionaux peuvent servir de modèles de bonnes politiques en matière d’innovation avec des institutions plus solides qui contribueront à favoriser des niveaux plus élevés de développement régional fondé sur l’innovation ces prochaines années.
Europe et Amérique du Nord
Dans l’ensemble, l’innovation se porte bien en Europe, avec un grand nombre de nations figurant aux 10 premières places du classement et une progression positive de grands pays européens comme l’Allemagne (12e) parmi les 25 premiers. Un certain nombre de pays d’Europe de l’Est comme la Bulgarie (39e) ou le Monténégro (41e) font preuve de dynamisme et affichent une tendance positive. En Amérique du Nord, les États-Unis d’Amérique (5e) restent en tête en termes d’innovation tandis que le Canada (16e) demeure parmi les 25 premiers du GII après avoir perdu sa place parmi les 10 meilleurs en 2012.
Selon Johan Aurik, associé et président du conseil d’administration de A.T. Kearney : “Si les pays européens dominent ce classement, 3 enjeux de politique générale restent stratégiques : l’adoption d’une législation davantage favorable à l’innovation (comme par exemple la voiture autonome), la capacité donnée aux entreprises d’anticiper l’évolution des réglementations, et leur harmonisation à l’échelle européenne."
Kai Engel, cofondateur de IMP³rove – European Innovation Management Academy et associé en charge de l’innovation chez A.T. Kearney, précise que “Les régions européennes ont développé des stratégies pertinentes de spécialisation afin de canaliser les fonds d’aide à l’innovation. Le principal défi est dorénavant leur mise en œuvre efficace grâce à une politique générale adaptée qui tienne compte de l’apport stratégique du big data.”
Amérique latine et Caraïbes
La région Amérique latine et Caraïbes voit son potentiel d’innovation s’améliorer mais il reste encore largement inexploité. Le Brésil (70e), l’Argentine (72e) et le Mexique (57e) se distinguent par des résultats supérieurs à la moyenne du GII pour la région. Relevons également la surperformance régulière du Chili (42e), du Costa Rica (51e) et de la Colombie (67e), au niveau régional et par rapport aux pays qui présentent un niveau de développement économique similaire, ainsi que le rôle émergent du Pérou (71e) et de l’Uruguay (68e).
Afrique du Nord et Asie occidentale
De nombreuses économies riches en ressources dans la région ont commencé à se diversifier et à stimuler l’innovation dans de nouveaux secteurs. Cela a permis à l’Arabie saoudite (43e), aux Émirats arabes unis (47e) et au Qatar (50e) de se positionner en tête du classement du GII dans leur région.
“Les Émirats arabes unis continuent de jouer un rôle moteur dans l’innovation, le gouvernement mettant l’accent sur la diversification de l’économie du pays. Chez du, nous n’avons pas ménagé nos efforts pour créer des écosystèmes connectés qui assurent la diffusion du savoir et l’innovation continue,” a expliqué son président-directeur général, Osman Sultan.
Dans la région, l’Arménie (61e) et la Jordanie (75e) continuent de faire mieux en matière d’innovation compte tenu de leur niveau de développement et sont rejointes cette année par le Maroc (78e). Israël (22e) se situe en tête du classement régional pour la troisième année consécutive.
Asie du Sud-Est et Océanie
Avec la moitié de ses économies parmi les 40 premières, la région Asie du Sud-Est et Océanie conserve cette année son dynamisme en matière d’innovation. Tandis que Singapour (7e) et Hong Kong (Chine) (11e) dominent le classement régional, la République de Corée (14e), la Nouvelle-Zélande (15e) et le Japon (19e) figurent également parmi les 20 premiers. La performance de la région est par ailleurs stimulée par la Chine (29e) et la Malaisie (32e), mais aussi par l’évolution positive au Viet Nam (52e), aux Philippines (83e) et au Cambodge (91e).
Afrique subsaharienne
Des signes encourageants se sont fait jour en Afrique subsaharienne depuis l’an dernier. Trois pays de la région se classent en tête du groupe des pays à faible revenu, à savoir le Kenya (92e), le Mozambique (95e) et l’Ouganda (111e), sans tenir compte des pays pour lesquels les données manquantes sont nombreuses. Outre l’Afrique du Sud (60e), huit pays de la région de l’Afrique subsaharienne se sont distingués par une performance supérieure à celle que pourrait suggérer leur niveau de développement : le Sénégal (84e), le Kenya (92e), le Rwanda (94e), le Mozambique (95e), le Malawi (98e), le Burkina Faso (102e), le Mali (105e) et l’Ouganda (111e).
L’Indice mondial de l’innovation
L’Indice mondial de l’innovation (GII), qui connaît sa huitième édition cette année, est publié conjointement par l’Université Cornell, l’INSEAD et l’Organisation Mondiale de la Propriété Intellectuelle (OMPI, une institution spécialisée des Nations Unies).
Publié chaque année depuis 2007, cet indice est un précieux outil de comparaison pour les chefs d’entreprise, les décideurs et les autres parties intéressées qui tentent de se faire une idée de la situation de l’innovation dans le monde. L’étude effectuée cette année se fonde sur l’expérience acquise par les experts partenaires, à savoir A.T. Kearney et IMP³rove – European Innovation Management Academy, la Confédération des industries indiennes, du et un conseil consultatif constitué de 15 experts internationaux.
Le rapport GII propose un classement des capacités et des performances des pays en matière d’innovation. Compte tenu du rôle fondamental de l’innovation dans la croissance et la prospérité économiques et de la nécessité d’une vision ouverte de l’innovation qui soit applicable aux pays développés et aux pays émergents, cet indice comprend des indicateurs qui vont au-delà de ceux traditionnellement utilisés pour mesurer l’innovation, comme le niveau des dépenses en recherche-développement.
En huit ans, le GII est devenu la principale référence parmi les indices de l’innovation et s’est transformé en un précieux outil de comparaison qui facilite le dialogue public-privé et qui permet aux décideurs, aux chefs d’entreprise et aux autres parties intéressées d’évaluer en permanence les progrès accomplis.
Pour contribuer au débat sur l’innovation dans le monde, orienter les politiques et mettre en lumière les pratiques recommandées, des indicateurs sont employés pour évaluer l’innovation et les résultats obtenus dans ce domaine. L’Indice mondial de l’innovation permet de créer un environnement dans lequel les facteurs de l’innovation sont évalués en permanence, avec :
- le profil de 141 pays, y compris des données sur le classement, les points forts et les points faibles à travers 79 indicateurs;
- 79 tableaux de données, pour des indicateurs issus de plus de 30 sources internationales publiques et privées. Cinquante-cinq de ces indicateurs sont des données quantitatives, 19 sont des indicateurs composites et 5 correspondent à des questions posées dans le cadre d’une enquête;
- une méthode de calcul transparente et pouvant être reproduite, qui prévoit un intervalle de confiance de 90% pour chaque classement (classement global, sous-indice des moyens mis en œuvre et sous-indice des résultats) ainsi qu’une analyse des facteurs qui influent sur le classement annuel.
Le GII 2015 représente la moyenne de deux sous-indices. Ainsi, le sous-indice des moyens mis en œuvre en matière d’innovation permet d’évaluer des éléments de l’économie nationale favorisant des activités innovantes autour de cinq piliers : 1) les institutions, 2) le capital humain et la recherche, 3) l’infrastructure, 4) le perfectionnement des marchés et 5) le perfectionnement des entreprises. Le sous-indice des résultats rend compte des preuves manifestes de l’innovation en s’appuyant sur deux piliers : 6) les résultats en matière de connaissances et de technologie et 7) les résultats créatifs.
L’indice est soumis à un audit statistique indépendant effectué par le Centre commun de recherche de la Commission européenne. Pour télécharger le rapport dans son intégralité, veuillez cliquer sur le lien www.globalinnovationindex.org.
Les experts partenaires
La Confédération des industries indiennes, du, A.T. Kearney et IMP³rove – European Innovation Management Academy ont collaboré à l’indice 2015 en qualité d’experts partenaires.
Ces experts reconnaissent le rôle que joue l’innovation dans le renforcement de la compétitivité des nations, dans la croissance économique, dans l’évolution de la société et dans la construction des fondements de l’avenir d’un pays.
Ils se sont engagés à produire une ressource précieuse et impartiale. Ils apportent leur concours à l’élaboration du GII, rédigent des chapitres analytiques ou des études de cas pour le rapport et participent à la discussion et à la diffusion des résultats du GII.
CII
La Confédération des industries indiennes (CII) s’emploie à créer et à favoriser un environnement propice à la croissance de l’industrie en Inde, en établissant des partenariats avec le milieu industriel et le secteur public par le biais de processus de conseil et de consultation. La CII est une organisation non gouvernementale, à but non lucratif, guidée et gérée par l’industrie, qui joue un rôle actif dans le processus de développement de l’Inde. Fondée en 1895, la première association commerciale de l’Inde compte plus de 7900 membres, tant du secteur privé que public, notamment des PME et des multinationales, ainsi que des membres indirects, à savoir plus de 200 000 entreprises appartenant à près de 240 organismes sectoriels nationaux et régionaux.
du
En tant que société de télécommunications à plus forte croissance de la région Moyen-Orient et Afrique du Nord, du sert plus de 7,5 millions de clients et plus de 80 000 entreprises dans tous les Émirats arabes unis. Acteur clé de l’économie des Émirats arabes unis, c’est avec fierté que nous nous sommes associés au gouvernement pour continuer de stimuler le programme d’innovation, conformément au projet Vision 2021. Nous avons débuté nos activités en 2007, offrant des services de téléphonie mobile et fixe, de connectivité haut débit et de TVIP; nous fournissons aujourd’hui également des services de transmission destinés aux entreprises et des services de liaisons satellites montantes/descendantes pour les organismes de radiodiffusion télévisuelle.
A.T. Kearney
A.T. Kearney est un des leaders mondiaux du conseil en stratégie et management. Le cabinet, qui compte 3000 consultants et 61 bureaux répartis dans 40 pays, assiste les directions générales dans leurs problématiques de développement, d’efficacité opérationnelle et de conduite du changement. Depuis 1926, A.T. Kearney accompagne les entreprises internationales et les gouvernements afin d’atteindre avec eux le niveau d’excellence nécessaire pour créer de la valeur à long terme et obtenir des résultats tangibles. Pour plus d’informations, vous pouvez consulter le site www.atkearney.com.
IMP³rove – European Innovation Management Academy
Le programme IMP³rove – European Innovation Management Academy offre des évaluations comparatives en matière d’innovation, des services consultatifs et des formations. Avec une approche globale de la gestion de l’innovation et un réseau mondial, IMP³rove Academy établit la norme pour évaluer la gestion de l’innovation et les services d’appui connexes. IMP³rove Academy est issu du programme phare “IMP³rove” de la Commission européenne. Pour plus d’informations, veuillez consulter le site www.improve-innovation.eu.
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Figurant parmi les écoles supérieures de commerce les plus importantes et les plus réputées du monde, l’INSEAD rassemble des personnes, des cultures et des idées pour changer les vies et transformer les organisations. Une perspective mondiale et une grande diversité culturelle transparaissent dans tous les aspects de nos recherches et de notre enseignement.
Avec des campus situés en Europe (France), en Asie (Singapour) et à Abou Dhabi, l’INSEAD étend ses activités d’enseignement et de recherche sur trois continents. Nos 150 éminents professeurs d’université originaires de 34 pays inspirent chaque année plus de 1300 participants de nos programmes de MBA, de MBA pour cadres, de Masters spécialisés (Master en finance, Executive Master in Consulting and Coaching for change) et de doctorat. En outre, plus de 11 000 cadres suivent chaque année les programmes de formation et de doctorat pour dirigeants de l’INSEAD. Vous trouverez de plus amples informations sur l’INSEAD à l’adresse www.insead.edu.
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