L’activité en images
Ambassadeur Javier Garrigues, représentant permanent de l’Espagne à Genève; Abel Martín, directeur général de l’AISGE; Pilar Bardem, présidente de l’AISGE; Francis Gurry, directeur général de l’OMPI; et Marcelo Di Pietro Peralta, conseiller principal de l’OMPI. (Photo AISGE)
MADRID, 18 juin
La Société Artistas Intérpretes Sociedad de Gestión (AISGE) a reçu à son siège, à Madrid, Francis Gurry, directeur général de l’OMPI, à l’occasion de la première visite d’un directeur général de cette Organisation. La société de gestion collective représente les interprètes audiovisuels espagnols - actrices, acteurs, danseurs, directeurs de théâtres. Partenaire de longue date de l’OMPI, l’AISGE a participé à de nombreuses initiatives avec l’Organisation en Afrique, en Asie, en Europe et en Amérique latine, dans des pays comme l’Argentine, le Brésil, le Chili et la Colombie. Nombre d’éminents interprètes de la planète viennent du bloc culturel ibéro-américain (Espagne, Portugal et Amérique latine) et ils dépendent beaucoup de la propriété intellectuelle pour la protection de leurs droits.
__________________
SOFIA, 10-12 juin
Francis Gurry, directeur général de l’OMPI; Kostadin Manev, président de l’Office bulgare des brevets; professeur Borislav Borisov; et Marcus Höpperger, directeur par intérim de l’OMPI (Photo Svetlana Munteanu)
Les questions juridiques, économiques et commerciales ont été au cœur du débat au Colloque mondial, de l’OMPI sur les indications géographiques, organisé conjointement par l’Office bulgare des brevets et l’OMPI. Ce colloque a réuni des conférenciers de 16 pays et de 5 continents ainsi que quelque 250 participants de plus de 40 pays et de six organisations, dont l’Organisation mondiale du commerce et l’Union européenne. Francis Gurry, directeur général de l’OMPI, y a souligné l’importance d’objectifs élargis de politique générale dans le domaine des indications géographiques tels que le rôle que ces indications peuvent jouer dans le développement rural et la préservation des savoirs traditionnels. Au programme figuraient des exposés qui ont mis en lumière les détails administratifs et de procédure inhérents à la protection des indications géographiques. Le programme se penchait également sur la dimension économique de ces indications et rassemblait un groupe représentatif d’éminents experts appelés à examiner les perspectives des indications géographiques sous différents angles.
__________________
PRETORIA, 26 et 27 mai
Une réunion de hauts dirigeants et d’administrateurs de la propriété intellectuelle en provenance de 36 pays africains a marqué le lancement d’un programme financé par le Japon en vue de promouvoir l’utilisation de la propriété intellectuelle en Afrique et dans les pays les moins avancés (PMA). Cette manifestation, organisée par l’OMPI en coopération avec les gouvernements sud-africain et japonais, s’inscrit dans le programme de fonds fiduciaires japonais en faveur de l’Afrique et des PMA administrés par l’Organisation. Cette réunion de deux jours a été l’occasion pour les participants d’étudier l’éventail des options de politique générale disponibles pour créer un cadre propice à l’utilisation et à la gestion efficaces des actifs de propriété intellectuelle. Des experts en propriété intellectuelle du Japon, de la Malaisie, du Kenya, de l’Éthiopie, de l’Afrique du Sud, de l’Organisation régionale africaine de la propriété intellectuelle (ARIPO), de l’OMPI et de la Banque mondiale ont passé en revue différents thèmes. Les participants ont également examiné des propositions concrètes d’activités futures destinées à être mises en œuvre dans le cadre du programme de fonds fiduciaires.
Le Magazine de l’OMPI vise à faciliter la compréhension de la propriété intellectuelle et de l’action de l’OMPI parmi le grand public et n’est pas un document officiel de l’OMPI. Les désignations employées et la présentation des données qui figurent dans cette publication n’impliquent de la part de l’OMPI aucune prise de position quant au statut juridique des pays, territoires ou zones concernés ou de leurs autorités, ni quant au tracé de leurs frontières ou limites territoriales. Les opinions exprimées dans cette publication ne reflètent pas nécessairement celles des États membres ou du Secrétariat de l’OMPI. La mention d’entreprises particulières ou de produits de certains fabricants n’implique pas que l’OMPI les approuve ou les recommande de préférence à d’autres entreprises ou produits analogues qui ne sont pas mentionnés.