À propos de la propriété intellectuelle Formation en propriété intellectuelle Respect de la propriété intellectuelle Sensibilisation à la propriété intellectuelle La propriété intellectuelle pour… Propriété intellectuelle et… Propriété intellectuelle et… Information relative aux brevets et à la technologie Information en matière de marques Information en matière de dessins et modèles industriels Information en matière d’indications géographiques Information en matière de protection des obtentions végétales (UPOV) Lois, traités et jugements dans le domaine de la propriété intellectuelle Ressources relatives à la propriété intellectuelle Rapports sur la propriété intellectuelle Protection des brevets Protection des marques Protection des dessins et modèles industriels Protection des indications géographiques Protection des obtentions végétales (UPOV) Règlement extrajudiciaire des litiges Solutions opérationnelles à l’intention des offices de propriété intellectuelle Paiement de services de propriété intellectuelle Décisions et négociations Coopération en matière de développement Appui à l’innovation Partenariats public-privé Outils et services en matière d’intelligence artificielle L’Organisation Travailler avec nous Responsabilité Brevets Marques Dessins et modèles industriels Indications géographiques Droit d’auteur Secrets d’affaires Académie de l’OMPI Ateliers et séminaires Application des droits de propriété intellectuelle WIPO ALERT Sensibilisation Journée mondiale de la propriété intellectuelle Magazine de l’OMPI Études de cas et exemples de réussite Actualités dans le domaine de la propriété intellectuelle Prix de l’OMPI Entreprises Universités Peuples autochtones Instances judiciaires Ressources génétiques, savoirs traditionnels et expressions culturelles traditionnelles Économie Financement Actifs incorporels Égalité des genres Santé mondiale Changement climatique Politique en matière de concurrence Objectifs de développement durable Technologies de pointe Applications mobiles Sport Tourisme PATENTSCOPE Analyse de brevets Classification internationale des brevets Programme ARDI – Recherche pour l’innovation Programme ASPI – Information spécialisée en matière de brevets Base de données mondiale sur les marques Madrid Monitor Base de données Article 6ter Express Classification de Nice Classification de Vienne Base de données mondiale sur les dessins et modèles Bulletin des dessins et modèles internationaux Base de données Hague Express Classification de Locarno Base de données Lisbon Express Base de données mondiale sur les marques relative aux indications géographiques Base de données PLUTO sur les variétés végétales Base de données GENIE Traités administrés par l’OMPI WIPO Lex – lois, traités et jugements en matière de propriété intellectuelle Normes de l’OMPI Statistiques de propriété intellectuelle WIPO Pearl (Terminologie) Publications de l’OMPI Profils nationaux Centre de connaissances de l’OMPI Série de rapports de l’OMPI consacrés aux tendances technologiques Indice mondial de l’innovation Rapport sur la propriété intellectuelle dans le monde PCT – Le système international des brevets ePCT Budapest – Le système international de dépôt des micro-organismes Madrid – Le système international des marques eMadrid Article 6ter (armoiries, drapeaux, emblèmes nationaux) La Haye – Le système international des dessins et modèles industriels eHague Lisbonne – Le système d’enregistrement international des indications géographiques eLisbon UPOV PRISMA UPOV e-PVP Administration UPOV e-PVP DUS Exchange Médiation Arbitrage Procédure d’expertise Litiges relatifs aux noms de domaine Accès centralisé aux résultats de la recherche et de l’examen (WIPO CASE) Service d’accès numérique aux documents de priorité (DAS) WIPO Pay Compte courant auprès de l’OMPI Assemblées de l’OMPI Comités permanents Calendrier des réunions WIPO Webcast Documents officiels de l’OMPI Plan d’action de l’OMPI pour le développement Assistance technique Institutions de formation en matière de propriété intellectuelle Mesures d’appui concernant la COVID-19 Stratégies nationales de propriété intellectuelle Assistance en matière d’élaboration des politiques et de formulation de la législation Pôle de coopération Centres d’appui à la technologie et à l’innovation (CATI) Transfert de technologie Programme d’aide aux inventeurs WIPO GREEN Initiative PAT-INFORMED de l’OMPI Consortium pour des livres accessibles L’OMPI pour les créateurs WIPO Translate Speech-to-Text Assistant de classification États membres Observateurs Directeur général Activités par unité administrative Bureaux extérieurs Avis de vacance d’emploi Achats Résultats et budget Rapports financiers Audit et supervision
Arabic English Spanish French Russian Chinese
Lois Traités Jugements Recherche par ressort juridique

Loi n° 16.811 du 21 février 1997 sur l'obtention, la production, la circulation et la commercialisation interne et externe de semences et les créations phytogénétiques, Uruguay

Retour
Version la plus récente dans WIPO Lex
Détails Détails Année de version 1997 Dates Adopté/e: 21 février 1997 Type de texte Lois en rapport avec la propriété intellectuelle Sujet Brevets (Inventions), Protection des obtentions végétales, Mise en application des droits Notes PARTIE III: Le droit de propriété aux variétés végétales
Article 67 . 'L'Institut national des semences
aura le Registre de la propriété des cultivateurs. Son objectif sera de reconnaître et de garantir un droit à l'obtenteur d'une nouvelle variété végétale par l'octroi et l'enregistrement du titre en conformité avec la Convention internationale pour la protection des obtentions végétales signée à Paris le 12 Décembre, 1961 et modifié par des additifs signée à Genève le 10 Novembre 1972 et Octobre 23, 1978, approuvée par la loi n° 16.580 du 21 Septembre 1994'.
(Traduction de courtoisie de l'art. 67)

Documents disponibles

Texte(s) principal(aux) Textes connexe(s)
Texte(s) princip(al)(aux) Texte(s) princip(al)(aux) Espagnol Ley N° 16.811 de 21 de febrero de 1997, que declara de interés nacional, la obtención, producción, circulación y comercialización interna y externa de las semillas y las creaciones fitogenéticas y se crea el Instituto Nacional de Semillas         Anglais Law No. 16.811 of February 21, 1997, on the Development, Production, Distribution and Internal and External Marketing of Seeds and Phytogenetic Creations        
 Law No. 16.811 on the Development, Production, Distribution and Internal and External Marketing of Seeds and Phytogenetic Creations

PLANT VARIETY PROTECTION No. 82 55

Law - page 1 URUGUAY

URUGUAY

Law No. 16.8111, 2

1 Published in the Diario Oficial of Uruguay of February 28, 1997.

2 Translated by the Office of the Union.

TITLE I

NATIONAL SEEDS INSTITUTE

CHAPTER I

DECLARATION OF NATIONAL INTEREST

Article 1

The breeding, production, distribution and marketing of seeds and phytogenetic creations, both within the country and abroad, are hereby declared to be in the na- tional interest.

CHAPTER II

CREATION

Article 2

The National Seeds Institute is hereby created as a non-government legal entity under public law.

Article 3

The objectives of the National Seeds Institute shall be the following:

(A) To promote the production and use of the best seed, of proven identity and superior quality as a means of furthering the development of the national seed industry.

(B) To support the breeding and use of new national phytogenetic material, and also such material of for- eign origin when it conforms to the conditions pre- vailing within the country.

(C) To protect phytogenetic creations and discov- eries by granting the appropriate property titles.

(D) To encourage the exportation of seed.

(E) To verify compliance with the prevailing legal provisions in the area concerned. (F) To propose the enactment of provisions on the production, certification, marketing, exportation and importation of seed, and also on the protection of phytogenetic creations and discoveries.

Article 4

The Executive shall be competent to determine na- tional seeds policy according to the objectives provided for in the foregoing Article, and shall be given advice and assistance by the Institute in that connection. The Insti- tute shall conduct its action according to that national policy.

The Institute shall be linked and coordinated with the Executive through the Ministry of Livestock, Agriculture and Fisheries.

CHAPTER III

ADMINISTRATION

Article 5

The organs of the Institute shall be the Board of Di- rectors, the Executive, the National Seeds Council and the Users’ Commission.

Article 6

The Board of Directors shall be the supreme author- ity of the Institute, and its Members shall be persons of

56 PLANT VARIETY PROTECTION No. 82

URUGUAY Law - page 2

recognized integrity in matters pertaining to seeds, which fact they shall attest with the appropriate testimonials.

The Board shall be composed of:

– one representative from the Ministry of Live- stock, Agriculture and Fisheries, who shall pre- side;

– one representative of seed producers;

– one representative of seed traders;

– two representatives of the farmers who use the seed.

The representative of the Ministry of Livestock, Agriculture and Fisheries shall have sound training in agricultural science.

The representatives of producers and traders shall be designated by the Executive on a proposal from the corre- sponding associative bodies, and the representatives of farmer-users on a proposal from the Users’ Commission.

The Executive shall, when enacting the Regulations under this Law, specify the criteria for the selection of representatives of the private sector.

The designation of titular members of the Board of Directors shall include that of the corresponding alter- nates.

Article 7

The term of office of members of the Board of Direc- tors shall be three years, and they may be re-elected for a second, consecutive term.

Outgoing members shall remain in office until the designated new members have taken up their duties.

Article 8

The monthly remuneration of the Chairman of the Board of Directors shall correspond to that of an Under- Secretary of State.

The other titular members shall be remunerated ac- cording to a system of attendance fees.

The value of the attendance fee referred to in the fore- going paragraph is set at the equivalent of one-twelfth of

the monthly remuneration of the Chairman, with a mini- mum of four and a maximum of seven monthly sessions.

Article 9

The Board of Directors shall determine its own pro- gram of sessions.

Resolutions shall be adopted by majority consent.

In the event of equally divided votes, the Chairman shall have a casting vote.

Article 10

There shall be a Managing Director designated by the majority of the Board of Directors, confirmed by the concurrent vote of the Chairman.

He shall be a person pursuing a recognized career and having sound training in the sciences that pertain to seed production and quality control.

The Managing Director shall attend the sessions of the Board of Directors with the right to speak but not to vote.

Article 11

The Director shall be under contract for renewable periods of three years. A majority vote of the Board of Directors, including that of the Chairman thereof, shall be required for his removal or for the non-renewal of his contract.

Article 12

The National Seeds Council shall be composed of one representative from each of the following institutions: Agricultural Science Faculty, National Institute of Agri- culture and Livestock Research, Association of Agricul- tural Engineers, National Farm Board, Institute of Agri- cultural and Livestock Planning, National Honorary Commission for the Citrus Growing Plan, National Insti- tute of Vine and Wine Growing, and it shall act in plenary with the Members of the Board of Directors and the Managing Director.

The Regulations under this Law and any amendments thereto may alter the membership of the aforesaid Council by increasing the number of members.

PLANT VARIETY PROTECTION No. 82 57

Law - page 3 URUGUAY

The Council may be convened at the request of either the Board of Directors or three of its own members.

Article 13

The Users’ Commission shall be composed of one delegate each from the following institutions: Rural Fed- eration, Federated Farm Cooperatives, National Commis- sion of Rural Development, Rural Association of Uru- guay, Association of Rice Growers, National Association of Milk Producers, Farmers’ Confederation of Uruguay, Uruguayan Federation of CREA Groups, Association of Agricultural Producers of Canelones. It shall hold ses- sions at least every four months.

The Executive shall regulate the procedure according to which the Users’ Commission selects its representa- tives, and in doing so shall seek to ensure that the various entities are represented by at least one of the persons selected.

The Regulations under this Law may amend the membership of the Commission by increasing the number of members.

The Commission may be convened either by the Members of the Board of Directors or at the request of one-third of its own Members.

CHAPTER IV

DUTIES AND POWERS

Article 14

The Institute shall have the following duties:

(A) To promote the development of seed activities at all stages.

(B) To monitor the production and marketing of seed, and at the same time to ensure compliance with the provisions laid down by this Law and the Regula- tions under it; to that end it shall be empowered to:

(1) sample, inspect, analyze and test seed in the process of production, transportation, sale and offering or display for sale, in any place and at any time, in order to ascertain whether legal and regulatory provisions have been met;

(2) have access to places in which commercial or certified seed is located or is in the process of being produced;

(3) effect the withdrawal from sale of any seed that does not meet the requirements of this Law;

(4) seek the assistance of the forces of law and order where necessary.

(C) To assist the Executive in matter of seed policy by issuing opinions prior and fundamental to the en- actment of provisions related to seed activities.

(D) To keep the National Register of Cultivars and the General Register of Nurseries and Seed Producers and Traders.

(E) To maintain the Register of Cultivar Ownership and grant the appropriate titles in accordance with na- tional provisions and bilateral or multilateral interna- tional agreements.

(F) To effect the national and international certifica- tion of seed, subject to observance of bilateral or mul- tilateral international agreements.

(G) To maintain the country’s official seeds labora- tory by carrying out analytical work and also issuing the corresponding certificates, subject to observance of bilateral or multilateral international agreements.

(H) To authorize and advise private seed testing laboratories as provided in the applicable provisions. (I) To process and implement arrangements for the importation and exportation of seed.

(J) To carry out, either by itself or through third parties, such investigations of technical character as it may consider necessary for the fulfillment of its du- ties and functions, and also such consultations or veri- fications as may have to be made with foreign organi- zations of the same kind.

(K) To enter into relations of mutual cooperation and agreements with public or private bodies, either national or foreign, and also with international or re- gional organizations.

(L) To promote the training and further training of officials concerned with the relevant sector, in coordi- nation with national research and technical assistance bodies.

(LL) To set prices for:

– entries in the National Register of Cultivars, the General Register of Nurseries and Seed

58 PLANT VARIETY PROTECTION No. 82

URUGUAY Law - page 4

Producers and Traders and the Register of Cultivar Ownership;

– annual fees for the maintenance of entries in the aforementioned registers;

– labels for the various categories of seed;

– seed testing;

– applications and annual fees for authorization of seed testing laboratories, processing plants and other service providers associated with seeds;

– seed certification;

– applications for cultivar property titles and processing and grant thereof;

– any other service provided by the Institute in accordance with the provisions governing matters within its jurisdiction; the prices set shall be in strict proportion to the cost of the services provided;

(M) To decide on and apply the appropriate sanc- tions for violations of the regulatory provisions es- tablished by this Law and the Regulations under it, and to set the amounts of the corresponding fines.

(N) To enforce the sanctions imposed by it, for the purposes of which the records of its final resolutions shall constitute the titles of enforcement; those rul- ings shall be considered final that are expressly or tacitly accepted by the recipient of the sanctions and also those that deny leave to appeal under Article 22 of this Law. (Ñ) To enter into agreements on payment for the sanctions imposed by it, where it sees fit.

Article 15

The Board of Directors, in its capacity as supreme administrative body of the institute, shall have the fol- lowing duties:

(A) To draft the general rules of the Institute and submit them to the and submit them to the Ministry of Livestock, Agriculture and Fisheries for approval.

(B) To approve the Institute’ s staff regulations within six months of their installation; those regula- tions shall be governed by the rules of private law where not provided for.

(C) To appoint, transfer and dismiss the staff.

(D) To set the prices to be charged under the provi- sions of Article 14(LL) of this Law.

(E) To approve its budget and present it to the Ex- ecutive, together with its program of activities.

(F) To approve plans, programs and special proj- ects.

(G) To present the annual report and balance sheet of the Institute.

(H) To manage the resources and assets of the Insti- tute.

(I) To acquire, encumber and dispose of property of all kinds; in the case of real property, decisions shall be passed by a special majority of at least four members.

(J) To delegate such powers as it considers appro- priate by a reasoned decision passed by a majority of its members.

(K) In general, to engage in all civil and commercial acts, order acts of internal administration and carry out the material operations to which its general pow- ers of administration give rise, due regard being had to the commitments and specialized concerns of the In- stitute.

Article 16

The Managing Director shall have the following re- sponsibilities:

(A) To comply and ensure compliance with the pro- visions in force in the Institute’s area of competence;

(B) To implement the plans, programs and resolu- tions approved by the Board of Directors.

(C) To carry out all tasks pertaining to staff admini- stration and the internal organization of the Institute.

(D) To promote the establishment of relations with national bodies concerned with seed activity in gen- eral.

(E) To promote the strengthening of international technical cooperation, with special emphasis on coor- dination with the Institutes of other countries.

PLANT VARIETY PROTECTION No. 82 59

Law - page 5 URUGUAY

(F) Any other responsibility that the Board of Di- rectors may entrust or delegate to it.

Article 17

The National Seed Council, in its capacity as advisory body to the National Seeds Institute, shall do the follow- ing:

(A) Advise on the drafting of the General Rules of the Institute.

(B) Advise on the drafting of plans and programs prior to the approval thereof.

(C) Advise on any matter on which the Board of Di- rectors approaches it.

(D) Express its views on any other seed-related mat- ter where it sees fit.

Article 18

The Users’ Commission shall nominate two of the members of the Board of Directors. It shall act as the reference and advisory body for the representatives pro- posed by it.

For the better achievement of its aims it shall set up regional advisory commissions by area or group of areas, the membership and operating regime of which shall be determined by the Ministry of Livestock, Agriculture and Fisheries, which shall take due account of the opinion of the Commission itself and shall seek to achieve the great- est participation of basic entities.

CHAPTER V

FINANCIAL REGIME

Article 19

The resources of the Institute shall consist of the following:

(A) Charges made for services rendered under the provisions of Article 14(LL) of this Law.

(B) An annual State subsidy, to be charged to gen- eral revenue, in an amount at least equivalent to 20,000 UR (readjustable units); the Executive may

adjust this amount according to developments in the Institute’s income.

(C) Bequests, legacies and donations accepted by the Institute.

(D) Property or securities that are assigned to the Institute on whatever ground.

(E) The product of any fines and other sanctions imposed.

(F) Any other funds collected through application of the prevailing legislation.

CHAPTER VI

SUPERVISION AND APPEALS

Article 20

The administrative supervision of the Institute shall be exercised by the Executive, acting through the Ministry of Livestock, Agriculture and Fisheries.

The said supervision shall relate to opportuneness or appropriateness as well as legal correctness.

To that end, the Executive may convey to it such comments as it may consider relevant, and also propose the suspension of the acts commented on and any correc- tive action or dismissals that it may consider appropriate.

Article 21

The Internal Audit Office of the Nation shall exercise control over the financial management of the Institute, and the accounts and balance sheet reflecting the application of the budget shall be submitted to it within 90 days fol- lowing the close of each accounting period.

The Regulations under this Law shall determine the forms and dates for accounts and the closing thereof and the manner in which they are to be publicized. The pro- visions of Article 100 of Law No. 16.134 of Septem- ber 24, 1990, shall likewise be applicable.

Article 22

Decisions of the Board of Directors shall be subject to appeal for review, which shall be lodged within 20 work- ing days from the day following that on which the record

60 PLANT VARIETY PROTECTION No. 82

URUGUAY Law - page 6

of the decision was notified to the person concerned. Once the appeal has been lodged, the Board of Directors shall have 30 working days within which to investigate and settle the matter.

Where the appeal for review is rejected, the appellant may, on grounds of legality only, file an application for annulment of the decision objected to with the Court of Civil Appeals that was sitting on the date on which the decision was pronounced.

The filing of the aforementioned application shall take place within a period of 20 working days following the notification of the express refusal or, failing that, from the time at which the implicit refusal is deemed to have been pronounced.

The application for annulment may only be filed by a person having a subjective right or a direct, personal and legitimate interest that has been violated or prejudiced by the act objected to. The court shall rule in the final in- stance.

Article 23

Where the resolution issues from the Managing Direc- tor at the same time or subsidiarily to the appeal for re- view, an appeal to higher authority may be lodged with the Board of Directors.

This appeal for review shall be lodged and settled within the periods provided for in the foregoing Article, which shall likewise apply, as appropriate, to the settle- ment of the appeal to higher authority and to the subse- quent jurisdictional examination.

CHAPTER VII

GENERAL PROVISIONS

Article 24

The Institute shall be exempt from tax of all kinds other than social security contributions. Where not spe- cifically provided for in this Law, its operating regime shall be the same as for private activity, especially with regard to accounting, staff status and any contracts that it may conclude.

Article 25

The assets of the Institute shall be unattachable and its credits, regardless of origin, shall benefit from the privilege provided for in Article 1732(6) of the Code of Commerce.

Article 26

The technical and specialist staff of the Institute shall be selected in a competition in which shall be adversarial, on merit or adversarial and on merit, as the case may be, with a view to the award of contracts for periods of no more than five or less than two years, which shall be re- newable in the manner laid down in the staff regulations referred to in Article 15(B) of this Law. The remainder of the staff shall be contracted for by the selection system provided for in the same statutes, due regard being had to the characteristics of each category.

Article 27

Information obtained in the course of the day-to-day operation of the Institute shall be treated in special and strict confidence. The Board of Directors shall enact provisions on the procedures for the disclosure of infor- mation.

CHAPTER VIII

TRANSITIONAL PROVISIONS

Article 28

The legal entity that is created shall succeed to the responsibilities and duties assigned to the Seeds Office of the Ministry of Livestock, Agriculture and Fisheries (Ar- ticle 3 of Decree-Law No. 15.173 of August 13, 1981), it being for the Executive to issue the appropriate regula- tions within 90 days following the installation of the Board of Directors.

The movable and real property assigned to the Seeds Office shall pass as of right to the National Seeds Insti- tute in so far as it is relevant, under the regulations, to the responsibilities and duties transferred.

Article 29

The public officials budgeted or contracted for who, on the date of this Law, are engaged in inspection assign- ments for the Office referred to in Article 28, and pref- erably those concerned with the subject of seeds, may be

PLANT VARIETY PROTECTION No. 82 61

Law - page 7 URUGUAY

engaged to carry out tasks within the Institute or, failing that, may be reassigned to other departments of the pub- lic administration.

To that end, within the 60 days following the estab- lishment of the Institute, the Ministry of Livestock, Agri- culture and Fisheries shall order the transfer of the said staff for six months, renewable for the same amount of time, at the end of which the Institute shall use objective criteria to select those persons whom it intends to em- ploy, observing the following rules for the purpose:

– The officials selected may choose between as- signment to tasks within the Institute and reas- signment. In the latter case the Ministry of Live- stock, Agriculture and Fisheries may reassign them within its own executive units or declare them supernumerary for reassignment according to the provisions of Articles 15 to 31 of Law No. 16.127 of August 7, 1990.

– Where the official selected agrees to be incorpo- rated in the Institute, he shall sign the corre- sponding employment contract according to the statutes referred to in Article 15(B) and shall re- nounce his status as public official.

– Nevertheless, he may seek a license without bene- fit of pay for up to six months in public office and sign a probationary contract with the Insti- tute for the same period, at the end of which, if his incorporation therein and his renunciation of public office is not agreed to, he shall lose the status of selected candidate and shall continue to carry out duties as a public servant.

– Once the official has been finally incorporated in the Institute, his contractual responsibilities or functions shall automatically cease.

TITLE II

SEED

CHAPTER I

OBJECT

Article 30

The object of this Title shall be to regulate the pro- duction, certification, marketing, exportation and importa- tion of seed, and to assure agricultural producers of the identity and quality thereof.

CHAPTER II

GENERAL PROVISIONS

Article 31

Seed that is produced, marketed or transported within the country shall be described as certified or commercial. It shall be defined by and brought into conformity with the regulations enacted by the Executive with respect to its production, marketing and quality standards.

Article 32

The regulations under this Law shall lay down the provisions to which field and processing plant trials, the taking of samples, subsequent checks and seed evaluation have to conform.

Article 33

The procedures for determining tolerances, the toler- ances allowed, the certification that seed sellers have to deliver to purchasers, the packaging conditions and the characteristics of labels and seals shall be provided for in the regulations where not provided for in this Law.

Article 34

The National Seeds Institute is empowered to authorize and supervise private seed testing laboratories, processing plants and other firms or technical operatives providing seed-related services, which it shall do in accor- dance with the provisions of the regulations, and the latter shall also specify the operating standards and conditions to which such activities have to conform.

Article 35

The only batches of seed produced in the country that may be marketed are those that have been previously sampled and tested by authorized or official seed testing laboratories whose test findings show that the seed meets prevailing quality standards.

The Executive shall, on regulating this provision, set the date of the entry into force thereof.

62 PLANT VARIETY PROTECTION No. 82

URUGUAY Law - page 8

Article 36

The tests and testing periods used shall conform to the international rules on seed testing of the International Seed Testing Association and any alternative or comple- mentary provisions that may be enacted by the Ministry of Livestock, Agriculture and Fisheries on proposals from the National Seeds Institute.

Article 37

Where the test findings fall short of those prescribed by purity regulations, the seed shall, in order to be offered for sale, be reclassified under the control of the National Seeds Institute with a view to the achievement of accept- able values.

Where reclassification is not appropriate, the National Seeds Institute may order its use as a consumer product or in industrial processes or its destruction.

Article 38

The seed institutions that produce seed shall be re- sponsible when dealing with third parties and the Na- tional Seeds Institute, for the conformity of the seed to the quality standards laid down in this Law and the Regulations under it, and for the accuracy of the informa- tion given on the labels and packaging of the seed when the said seed is sold and offered for sale by them, or when it is sold or offered for sale by third parties, and the li- ability of the said seed institutions shall be verified. In other cases the trader selling the seed shall be liable.

Article 39

In exceptional cases, in consideration of the practical possibility that the requirements laid down in the provi- sions of this Title cannot be met, and for substantiated reasons, the Ministry of Livestock, Agriculture and Fish- eries, acting on a proposal from the National Seeds Insti- tute, may defer application of the said requirements either entirely or in part.

Article 40

Where the consumer has doubts concerning the genu- ineness, purity, germination or treatment specified on the labels of seed bought by him, he may seek official confir- mation from the National Seeds Institute according to a procedure laid down in the relevant regulations.

Complaints concerning purity, germination and proc- essing shall be made within the 30 days following receipt of the consignment and prior to sowing. Where they relate to genuineness, complains may be made for as long as harvesting has not taken place.

If it is found that the complaint is justified, the seller shall be obliged to repay the price of the seed and freight charges to the buyer, without prejudice to the sanctions provided for in this Law.

The buyer shall be obliged to return the seed that he has not sown with the corresponding packaging, any ex- penses associated with the return being payable by the seller.

CHAPTER III

PROHIBITIONS

Article 41

It shall be prohibited to market any seed:

(1) In bulk, after processing.

(2) Whose germination testing has exceeded the peri- ods provided for in the relevant provisions.

(3) Together with information on the packaging or la- bels that is not expressly allowed by prevailing regulations.

(4) With a label or notice that in one way or another misleads as to the properties and condition of the seed or does not conform to prescribed standards.

(5) That does not conform to the requirements and tolerances and other specific conditions laid down to that end by the provisions of this Law.

The National Seeds Institute shall regulate the condi- tions in which seed in any of the hypothetical situations provided for in this Article is transported.

Article 42

The following shall likewise be prohibited during the process of marketing or transport of seed:

(1) The removal, alteration, mutilation or destruction of any label affixed in accordance with this Law.

PLANT VARIETY PROTECTION No. 82 63

Law - page 9 URUGUAY

(2) The use on any label or in notice of the term “type” in conjunction with the name of the seed.

(3) The moving, manipulation or disposal of batches of seed withdrawn from sale, or the labels thereof, without written authorization from the National Seeds Institute.

CHAPTER IV

NATIONAL REGISTER OF CULTIVARS

Article 43

The National Register of Cultivars is hereby created and placed under the authority of the National Seeds In- stitute.

Only those cultivars that have been entered in the said Register may be certified and marketed in the country. Exceptions may be made by regulation for species that require entry in the Register for marketing.

Cultivars registered under Decree-Law No. 15.173 of August 13, 1981, its regulatory Decree 84/983 of March 24, 1983, and its amending Decrees 418/987 of August 12, 1987, and 519/991 of September 17, 1991, shall be considered entered in the Register created by this Article.

Article 44

Cultivars entered in the Register referred to shall:

(1) possess a characterizing proper name that pre- vents them from being confused with another va- riety already registered or from misleading as to the properties of the seed;

(2) retain their original names, in the case of foreign cultivars;

(3) be capable of differentiation from other cultivars already registered;

(4) be sufficiently uniform in their characteristics as a whole, according to their reproductive or vegeta- tive propagation system, and present those condi- tions of stability that enable them to be identified;

(5) be the subject of national test data;

(6) be sponsored by an agricultural engineer or other professional of equivalent training, for the pur- poses of the national test data requirement, regu- lations issued by the National Seeds Institute shall specify the growing periods or cycles re- quired according to the species concerned, and it may make exceptions for species in respect of which such testing is required.

Article 45

The testing of cultivars for the purposes of accep- tance in the National Register of Cultivars shall be the responsibility of the National Seeds Institute, which may conduct technical examinations either direct or through other public or private national institutions. Technical examinations shall continue to be carried out by the Na- tional Institute of Farm and Livestock Research until such time as the National Seeds Institute can take charge of them, according to a resolution accompanied by a state- ment of reasons issued by the Ministry of Livestock, Agriculture and Fisheries.

Article 46

The National Seeds Institute shall specify what spe- cies are to be released for sale with a variety identifica- tion.

Article 47

An entry in the Register may be canceled:

(1) where the cultivar is shown to have lost the char- acteristics on the basis of which it was registered;

(2) for failure to pay the annual fee to the National Registry of Cultivars during a period of three months following a formal request for payment.

Article 48

The National Register of Cultivars shall be brought up to date annually.

Article 49

The National Seeds Institute shall issue a resolution with a statement of reasons refusing entry in the Register where the proposed cultivar might adversely affect the environment.

64 PLANT VARIETY PROTECTION No. 82

URUGUAY Law - page 10

Article 50

Where external demand warrants such action, the National Seeds Institute may accord the status of “seed exclusively for export” to batches of seed of cultivars that are not entered in the National Register of Cultivars. It shall likewise specify the minimum requirements and equivalent properties that have to be fulfilled for seed of the cultivars to be produced within the country.

CHAPTER V

CERTIFIED SEED

Article 51

The National Seeds Institute shall be responsible for the certification of seed and shall have the following du- ties in that connection:

(1) To supervise all stages of the certification proc- ess.

(2) To oversee the production of seed either itself or through third parties.

(3) To keep a register of seed in existence.

(4) To design certification labels for the various va- rieties and categories, and to assign them to batches of seed that meet the prescribed condi- tions.

(5) To verify the identify and varietal purity of the batches of the various categories of seed by the sowing of samples on test plots; the regulations under this Law shall lay down the general stan- dards and procedures for the imposition of spe- cific rules to be observed in the certification of seed.

Article 52

The certification of vegetative propagating material shall be carried out by the National Seeds Institute. To that end the National Seeds Institute may enter into agreements with other public or private national institu- tions.

CHAPTER VI

IMPORTATION AND EXPORTATION

Article 53

The importation of seed shall require prior authoriza- tion by the National Seeds Institute. The said require- ment may be dispensed with by regulation for seed pro- duced by countries with which the appropriate reciprocal arrangements have been made.

Article 54

The regulations shall lay down the requirements to be met by seed that is imported in accordance with the toler- ances set for the domestic market and also international and regional agreements assigned by the country in that connection.

Article 55

Any seed intended for importation shall be accompa- nied by certificates of origin and plant health, and also by the information and labels specified by regulation.

Article 56

Permits for the dispatch of seed shall not be acted upon where the seed is presented with important declara- tions that provide no record of prior intervention in the dispatch permit on the part of the National Seeds Insti- tute.

Article 57

Batches of seed may not be removed from customs premises without prior documentary verification by the National Seeds Institute of the quality certificates recog- nized as being valid under the applicable provisions or, failing that, without prior quality testing by the compe- tent laboratory of the National Seeds Institute, subject to any exceptions that might be made in specific cases by virtue of the relevant regulations.

The National Customs Administration shall not un- dertake seed testing and shall rely on that carried out by the National Seeds Institute.

Article 58

PLANT VARIETY PROTECTION No. 82 65

Law - page 11 URUGUAY

The National Seeds Institute may authorize the dis- patch of batches of seed that on arrival do not conform to the standards in force, provided that the persons con- cerned subject them to purification treatment in an estab- lishment authorized by the National Seeds Institute and under the latter’s control.

Article 59

The importation of seed for testing, study and ex- perimentation shall be subject to special standards laid down by regulation.

Article 60

Products imported for industrialization, consumption or any other purpose other than sowing may not be used as seed or transferred for use as seed.

Article 61

The Executive shall be authorized to do the following:

(A) Grant total or partial exemption from tax on seed imports, without prejudice to the application of the provisions of Article 2(a) and (c) of Law No. 12.670 of December 17, 1959, in relation to com- peting nationally-produced products, and also from the application of Article 40(a) of Title VI of the 1979 consolidated text as amended by Decree-Law No. 15.132 of May 7, 1981.

(B) Grant seed subsidies where it considers such grant appropriate within the framework of the World Trade Organization agreements approved by Law No. 16.671 of December 13, 1994.

Article 62

The Executive is authorized, through the agency of the Ministry of Livestock, Agriculture and Fisheries and in consultation with the National Seeds Institute, to sus- pend seed exports temporarily when the needs of the country are at stake.

CHAPTER VII

GENERAL REGISTER OF NURSERIES, SEED PRODUCERS AND TRADERS

Article 63

The activities described in Article 82(9) of this Law, and also the production for commercial purposes, proc- essing, storage, distribution, sale, importation and expor- tation of seed may only be carried out by those who have been entered in the General Register of Nurseries, Seed Producers and Traders that is kept for the purpose by the National Seeds Institute.

Those registered under Decree Law No. 15.173 of August 13, 1981, and the regulations under it, De- cree 84/983 of March 24, 1983, and its amending De- crees 418/987 of August 2, 1987, and 519/991 of Septem- ber 17, 1991, shall be considered entered in the Register created by this Article.

Article 64

The Executive shall enact provisions on the operating conditions of persons, whether natural persons or legal entities who devote themselves to the creation, improve- ment and introduction of phytogenetic material and also to the production, testing, processing, storage, distribu- tion, sale, importation and exportation of seed.

Article 65

Nurseries, seed producers, seedsmen, seed laborato- ries and seed processors, importers and exporters shall conduct their activities under the technical responsibility of an agricultural engineer or other professional of equivalent background, who shall be registered with the National Seeds Institute.

TITLE III

PROPERTY RIGHTS IN NEW PLANT VARIETIES

CHAPTER I

OBJECT

Article 66

66 PLANT VARIETY PROTECTION No. 82

URUGUAY Law - page 12

The object of this Title is to regulate the protection of property rights in new cultivars.

CHAPTER II

REGISTER OF CULTIVAR OWNERSHIP

Article 67

The National Seeds Institute shall keep the Register of Cultivar Ownership, the purpose of which shall be to recognize and guarantee rights to the breeder of a new plant variety by means of the grant and registration of a title of ownership in accordance with the International Convention for the Protection of New Varieties of Plants signed in Paris on December 2, 1961, and amended by additional Acts signed in Geneva on November 10, 1972, and October 23, 1978, as approved by Law No. 16.580 of September 21, 1994.

The owners of property rights granted and registered under Decree-Law No. 15.173 of August 13, 1981, and its regulatory Decree 84/983 of March 24, 1983, and its amending Decrees 418/987 of August 12, 1987, and 519/991 of September 17, 1991, shall be considered en- tered in the register created by this Article, and the conti- nuity of their rights shall be assured.

Article 68

The regulations under this Law shall provide for the standards, periods and procedures to which applications for protection, variety proving trials and the grant and registration of provisional and final titles of ownership have to conform.

CHAPTER III

CONDITIONS REQUIRED OF THE CULTIVAR

Article 69

For a cultivar to qualify for protection, it shall meet all of the following requirements:

(A) It shall be new, in the sense that it shall not have been offered for sale or marketed with the consent of the breeder,

(1) within the Republic, before the filing date of the application for protection;

(2) outside the Republic, for more than six years in the case of vines and trees, or more than four years in the case of all other plants;

it shall not be considered prejudicial to the novelty of a cultivar that it has been offered for sale or marketed in the country, with the consent of the breeder, for a period of up to four years prior to the decision ac- cording to which this species to which the cultivar belongs qualifies for protection, provided that the ap- plication for protection is filed before the expiration of a period of up to four months following the said decision by the National Seeds Institute.

(B) It shall be clearly differentiated from any culti- var the existence of which is a matter of common knowledge on the filing date of the application for protection by at least one morphological, physiologi- cal, cytological, chemical or other important charac- teristic, shall fluctuate little and be capable of precise description and recognition.

(C) It shall be sufficiently uniform in its characteris- tics as a whole according to its system of reproduc- tive or vegetative propagation.

(D) It shall remain stable in its essential characteris- tics, in the sense that, at the end of each cycle of mul- tiplication carried out in the manner specified by its breeder, it shall retain the characteristics by which the said breeder defined it.

(E) It shall have been given a denomination that is acceptable to the Registry in accordance with the provisions of the regulatory texts.

CHAPTER IV

SCOPE OF PROTECTION

Article 70

The owners of property rights in cultivars entered in the Register of Cultivar Ownership shall enjoy the rights and powers corresponding to the rights of ownership governed by the Civil Code, without prejudice to the provisions of Article 73 of this Law.

Transactions that entail modifications to or otherwise affect the rights in registered cultivars shall themselves be entered in the Register in order to be binding on third parties.

PLANT VARIETY PROTECTION No. 82 67

Law - page 13 URUGUAY

Article 71

The title of ownership duly entered in the Register of Cultivar Ownership shall entitle its owner to engage in all legally acceptable transactions concerning his property rights, and shall confer on the holder thereof the exclusive right to carry out himself, or to have carried out subject to this prior authorization, the introduction into the country, production for commercial purposes, placing on sale, marketing within the country and abroad or donation, in accordance with this Law and the Regulations under it, of the reproductive or vegetative propagating material of the cultivar in question.

CHAPTER V

EXCEPTIONS TO PROTECTED RIGHTS

Article 72

The cultivar that is the subject of the title of owner- ship may be used without the holder thereof being granted any right to compensation where:

(A) The product of cultivation is used or sold as a raw material or food.

(B) Seed is set aside and sown for own use and not for commercial purposes.

(C) Other breeders use it for experimental purposes or as a source of genetic material for the creation of new cultivars, on condition that the protected cultivar is not used repeatedly and systematically for the commercial production of other cultivars.

CHAPTER VI

LIMITATION OF THE EXERCISE OF PROTECTED RIGHTS

Article 73

The Executive may declare a title of ownership to be “in the public interest” for a period not exceeding two years against adequate prior compensation of the owner where it considers that the availability of the product of cultivation of the crop concerned is in the general interest.

Article 74

The Executive may order the urgent procurement of the product of a cultivar declared to be “in the public interest” in accordance with the provisions of Article 19 of Decree-Law No. 15.173 of August 13, 1981. To that end the procedure provided for in Article 3 of Law No. 10.247 of October 15, 1942, shall be observed.

CHAPTER VII

TERM OF PROTECTION

Article 75

The term of validity of the title of ownership shall run from the time of its provisional issue, and may not be less than 15 years or more than 20 years according to the species concerned and according to the provisions laid down in the Regulations.

CHAPTER VIII

NATIONAL TREATMENT AND RIGHT OF PRIORITY

Article 76

Breeders resident abroad shall enjoy the same rights as breeders resident within the Republic in so far as the legislation of the country of residence recognizes and protects their rights as breeders.

Article 77

Where a breeder resident abroad wishes to register a cultivar, he shall:

(A) elect legal domicile in Uruguay for the purpose, or appoint an authorized representative within the country;

(B) submit with the relevant application duly authenticated official documentary evidence from the country of origin that attests his fitness to register the cultivar;

(C) undertake to comply with all Uruguayan legal provisions and regulatory enactments on the owner- ship of cultivars.

Where a breeder resident abroad in a country that is party to a relevant bilateral or multilateral agreement with

68 PLANT VARIETY PROTECTION No. 82

URUGUAY Law - page 14

Uruguay has filed one or more applications for the regis- tration of a cultivar in one or more such States, he shall enjoy in the Republic a period of priority of 12 months counted from the filing date of the first application. The application in the Republic shall be regarded as if it has been filed on the filing date of that first application.

CHAPTER IX

REVOCATION OR LAPSE OF PROTECTED RIGHTS

Article 78

The title of ownership of a cultivar shall be revoked or shall be canceled, as the case may be, in the following circumstances:

(A) At the request of the owner.

(B) Owing to the expiration of the legal period of protection of ownership.

(C) Where the characteristics of uniformity and sta- bility provided for in Article 69(C) and (D) of this Law have ceased to be present.

(D) Where the holder is not capable of supplying, at the request of the National Seeds Institute, propagat- ing material with which the cultivar may be produced in the form in which it was defined at the time of the grant of the title.

(E) Where it is shown that the title has been ob- tained by fraud on a third party.

(F) Where the National Seeds Institute shows, on the basis of formal evidence, that the requirements laid down in Article 6(A) and (E) of this Law were not met at the time of the grant of the title of owner- ship of the cultivar. (G) For failure to pay the annual fee to the Registry of Cultivar Ownership after a period of three months following the normal invitation to pay.

Article 79

The cultivar covered by a title of ownership shall become available for public use when the said title lapses for the reasons specified in subparagraphs (A), (B), (F) and (G) of the foregoing Article and, where subparagraph (E) applies, if it is not legally possible to transfer the right to its lawful owner.

Article 80

No title of ownership shall be granted in respect of cultivars which, at the time of the application, are in pub- lic use.

CHAPTER X

ENFORCEMENT OF THE PROTECTED RIGHTS

Article 81

The provisions of Articles 311 et seq. of the General Code of Process and, where applicable, those of Arti- cles 40 to 44 of Law No. 9.956 of October 4, 1940, on Trademarks and Agriculture, shall be applicable to the protection of the property rights of the breeders of new cultivars.

Any one who, without the authorization of the owner thereof, places on sale or markets in that capacity repro- ductive or vegetative propagating material of cultivars entered in the Register of Cultivar Ownership shall be punished with a fine equivalent to ten times the value of the sales effected by him.

Without prejudice to the foregoing, the offender shall be liable under civil law for the damages caused to the owner of the registered rights, according to the general provisions on civil liability.

TITLE IV

DEFINITIONS, SANCTIONS, APPLICABILITY AND REPEALS

CHAPTER I

DEFINITIONS

Article 82

For the purposes of the implementation of this Law and the regulations under it, unless specified otherwise, the following definitions shall apply:

(1) “Seed” means any plant structure used for the purpose of sowing or propagation of a species.

PLANT VARIETY PROTECTION No. 82 69

Law - page 15 URUGUAY

(2) “Species” means taxonomic units that incorpo- rate individuals that are separated from others by reproductive barriers and in that way retain differentiated characteristics of their own, or population systems separated from each other by discontinuity in the type of variation, but which must have a genetic basis.

(3) “Cultivar” denotes a grouping of cultivated plants that are distinguished from others of the same species by any characteristic (morphologi- cal, physiological, cytological, chemical or other), and which, on being sexually or asexually reproduced, retain the characteristics specific to them; the term “variety” is equivalent to “cul- tivar” when used to denote a cultivated variety.

(4) “Hybrid” describes a cultivar resulting from a controlled crossing of parents that are suffi- ciently uniform for the production thereof to be systematically repeated without changes in its constitution.

(5) “First-generation hybrid” means any cultivar re- sulting from the crossing of selected parent ma- terial from the first generation of which, due to the effect of “hybrid vigor,” superior produc- tion is achieved but not maintained in subse- quent generations owing to genetic segregation.

(6) “Certification process” denotes the series of operations, overseen by the National Seeds In- stitute, that takes place in order to achieve the production of certified processed seed for sale with the prescribed technical checks.

(7) “Seed certification” is the act of guaranteeing that the seed in question has completed the cer- tification process, in accordance with the provi- sions of this Law and the Regulations under it, by means of which third parties are assured of the trueness to variety and quality of specific batches of seed.

(8) “Commercial seed’ is any seed that is offered for sale without having met or attained required stan- dards for seed certification but which meets the conditions laid down by this Law and the regula- tions under it.

(9) ‘Nursery” means any establishment that devotes itself to the creation, introduction, improvement or testing of species and cultivars with a view to the production and sale of seed.

(10) “Breeder” means the person, whether natural per- son or legal entity, who has directed the process of creation of a new cultivar.

(11) “Seed company” means any establishment that devotes itself to the multiplication and sale of seed.

(12) “Batch” means a specific quantity of seed, identi- fied by a number or a mark, that has been arranged in such a way that each portion is representative of the batch.

(13) “Label” means the printed information on a fixed or loose label on or in the packaging, and the in- formation printed on the packaging itself.

(14) “Particulars” means all the specifications, condi- tions, characteristics and other details relating to the seed, in addition to those given on the label, which are conveyed to the public or to the con- sumer by various means.

(15) “Treated” means that a substance or method has been applied to the seed to control or ward off disease, organisms, insects or other pests that at- tack plants, or that the seed has been given an- other treatment to improve its value for sowing.

(16) “Mixture” means a quantity of seed of two or more species where none of the said species at- tains the minimum purity requirement imposed by current provisions for it to be considered a single species.

(17) “Processing” means cleaning, classification, mix- ing, chemical or physical treatment, packaging or any other operations that may alter the purity or germination of the seed.

Article 83

With respect to aspects not provided for in the fore- going definitions, the criteria laid down by the Interna- tional Seed Testing Association shall be observed.

CHAPTER II

INFRINGEMENTS AND SANCTIONS

Article 84

The Board of Directors of the National Seeds Insti- tute shall be the agency responsible for the imposition of sanctions for violation of the current provisions on seeds

70 PLANT VARIETY PROTECTION No. 82

URUGUAY Law - page 16

and plant variety protection, the enforcement thereof being the responsibility of the Managing Director of the National Seeds Institute.

The procedure applicable in such cases shall be pro- vided for in the regulations.

Article 85

The violations referred to in the foregoing Article shall be punished with the following, according to the serious- ness of the violation and the background of the violator:

(A) Warning.

(B) Fine from 20 to 2,000 UR (readjustable units).

(C) Seizure of the merchandise or of the apparatus used to commit the violation.

(D) Destruction of the merchandise where appropri- ate.

(E) Suspension of the violator from the relevant register.

(F) Temporary or permanent disqualification.

(G) Partial or total, temporary or permanent closure of the premises of the company, whether owned by it or by third parties, and regardless of whether they are intended for storage, processing, marketing, labora- tory analysis or any other activity associated with seed production and trading; where appropriate, clo- sure may affect only such premises as are used for a specific activity.

The sanctions provided for above may be applied in combination and adapted to the seriousness of the viola- tion, the value of the merchandise and the background of the offender.

Article 86

Agricultural engineers with technical responsibilities and other professionals with equivalent training as re- ferred in Article 65 who violate the provisions laid down in this Law and the regulations under it shall be liable to the following sanctions:

(1) Warning.

(2) The fines provided for in the foregoing Article.

Suspension of their status as seed experts for up to one year.

Sanctions shall be graduated and applied with due regard to the nature and seriousness of the violations, the degree of guilt and similar acts previously committed by the offender. The National Seeds Institute shall keep a register of violators.

Companies shall be jointly liable for the monetary sanctions inflicted on their technical staff.

PLANT VARIETY PROTECTION No. 82 71

Law - page 17 URUGUAY

CHAPTER III

APPLICABILITY AND REPEALS

Article 87

Until such time as the provisions of the Articles in Titles II, III and IV of this Law are approved, the provi- sions laid down by Decree 84/983 of March 16, 1983, and its amending Decrees 508/984 of November 14, 1984,

67/985 of February 6, 1985, 418/987 of August 12, 1987, 528/990 of November 14, 1990, and 519/991 of Septem- ber 17, 1991, shall apply with the rank of regulatory pro- visions.

Article 88

Decree Laws Nos. 15.173 of August 13, 1981, and 15.554 of May 21, 1984, and also any other legal provi- sion contrary to this Law, are repealed.

Ley 16.811

DECLARASE DE INTERES NACIONAL, LA OBTENCION, PRODUCCION, CIRCULACION y COMERCIALIZACION INTERNA y EXTERNA DE LAS SEMILLAS Y LAS CREACIONES FITOGENETICAS y SE CREA EL INSTITUTO NACIONAL DE SEMILLAS.

El Senado y la Cámara de Representantes de la República Oriental del Uruguay, reunidos en Asamblea General, DECRETAN:

TITULO 1 INSTITUTO NACIONAL DE SEMILLAS CAPITULO 1 Declaración de interés nacional Artículo 1°. Declárase de interés nacional la obtención, producción, circulación y comercialización interna y externa de las semillas y las creaciones fitogenéticas.

CAPITULOll Creación Artículo 2°. Créase el Instituto Nacional de Semillas como persona jurídica de derecho público no estatal.

Artículo 3°. El Instituto Nacional de Semillas tendrá los siguientes objetivos:

A) Fomentar la producción y el uso de la mejor semilla con identidad y calidad superior comprobada, estimulando el desarrollo de la industria semillerista nacional.

B) Apoyar la obtención y el uso de nuevos materiales fitogenéticos nacionales así como el de aquéllos de origen extranjero que se adecuen a las condiciones del país.

C) Proteger las creaciones y los descubrimientos fitogenéticos, otorgando los títulos de propiedad que correspondan.

D) Impulsar la exportación de semillas.

E) Fiscalizar el cumplimiento de la normativa legal en la materia.

F) Proponer el dictado de normas sobre producción, certificación, comercialización, exportación e importación de semillas así como sobre la protección de las creaciones y los descubrimientos fitogenéticos.

Artículo 4°. Compete al Poder Ejecutivo la fijación de la política nacional en materia de semillas según los objetivos establecidos en le artículo anterior, contando para ello con el asesoramiento del Instituto. Este adecuará su actuación a dicha política nacional.

El Instituto se vinculará y coordinará con el Poder Ejecutivo a través del Ministerio de Ganadería, Agricultura y Pesca.

CAPITULOIll De la Administración Artículo 5°. Los órganos del Instituto serán la Junta Directiva, la Dirección Ejecutiva, el Consejo Nacional de Semillas y la Comisión de Usuarios.

Artículo 6°.

La junta Directiva será el jerarca del Instituto y miembros será personas de reconocida solvencia en materia de

semillas, lo que deberán acreditar con antecedentes suficientes.

Estará integrada por:

-Un representante del Ministerio de Ganadería, Agricultura y Pesca, que la presidirá. -Un representante de los productores de semillas. -Un representante de los comerciantes de semillas. -Dos representantes de los agricultores usuarios de las semillas.

El representante del Ministerio de Ganadería, Agricultura y Pesca deberá contar con sólida formación en ciencias agrarias.

Los representantes de los productores y los comerciantes serán designados por Poder Ejecutivo a propuesta de las organizaciones gremiales respectivas, y los correspondientes a los agricultores usuarios a propuesta de la Comisión de Usuarios.

El Poder Ejecutivo al reglamentar la presente ley determinará los criterios para la selección de representantes del sector privado.

La designación de los miembros de la Junta Directiva incluirá la de sus correspondientes suplentes.

Articulo 7°. La duración del mandato de los miembros de la Junta Directiva será de tres años, pudiendo ser reelectos por un solo período consecutivo.

Los miembros salientes permanecerán en sus funciones hasta que asuman los nuevos miembros designados.

Articulo 8°. La retribución mensual del Presidente de la Junta Directiva será equivalente a la de Subsecretario de Estado.

Los restantes miembros titulares serán remunerados por el régimen de dieta por sesión.

Fíjase en el equivalente a un doceavo de la retribución mensual del Presidente el valor de la dieta por sesión a que refiere el inciso anterior, con un mínimo de cuatro sesiones mensuales y un máximo de siete.

Articulo 9°. La Junta Directiva fijará su régimen de sesiones. Las resoluciones se adoptarán por mayoría. En caso de empate, el Presidente tendrá doble voto.

Articulo 10. Habrá un Director Ejecutivo designado por la mayoría de la Junta Directiva, con el voto conforme del Presidente.

Deberá ser persona de reéonocida trayectoria y sólida formación en las ciencias afines a la producción y al control de calidad de semillas.

El Director Ejecutivo asistirá a las sesiones de la Junta Directiva con voz y sin voto.

Articulo 11. El Director Ejecutivo será contratado por períodos de tres años renovables. Para su destitución o no renovación del contrato se deberá contar con la mayoría de los votos de la Junta Directiva, incluido el del Presidente.

Articulo 12. El Consejo Nacional de Semillas estará integrado por un representantes de cada una de las siguientes instituciones: Facultad de Agronomía, Instituto Nacional de Investigación Agropecuaria, Asociación de Ingenieros Agrónomos, Junta Nacional de la Granja, Instituto Plan Agropecuario, Comisión Honoraria Nacional del Plan Citrícola e Instituto Nacional de Vitivinicultura, actuando en plenario con los miembros de la Junta Directiva y el Director Ejecutivo.

La reglamentación de la presente ley y sus eventuales modificaciones podrán cambiar la integración de este Consejo,

ampliando el número de miembros. Artículo 13.

La Comisión de Usuarios estará integrada por un delegado de cada una de las siguientes instituciones: Federación Rural, Cooperativas Agrarias Federadas, Comisión Nacional de Fomento Rural, Asociación Rural del Uruguay, Asociación de Cultivadores de Arroz, Asociación Nacional de Productores de Leche, Confederación Granjera del Uruguay, Federación Uruguaya de Grupos CREA y Asociación de Productores Agrícolas de Canelones. Sesionará, como mínimo, con una frecuencia cuatrimestral.

El Poder Ejecutivo reglamentará el procedimiento mediante el cual la Comisión de Usuarios seleccionará a sus representantes, propiciando que las diversas entidades tengan representación a traves de, por lo menos, uno de los seleccionados.

La reglamentación de la presente ley podrá modificar la integración de esta Comisión, ampliando el número de sus miembros.

La Comisión podrá ser convocada tanto por los miembros de la Junta Directiva como a solicitud de un tercio de sus integrantes.

CAPITULO IV De los cometidos y atribuciones Artículo 14. El Instituto tendrá los siguientes cometidos y atribuciones:

A) Promover el desarrollo de las actividades semilleristas en todas sus etapas.

B) Fiscalizar la producción y comercialización de las semillas velando por el cumplimiento de las normas . establecidas en la presente ley y su reglamentación. A tales efectos está facultado para:

1) Extraer muestras, inspeccionar, hacer análisis y pruebas a semillas en proceso de producción, transportadas, vendidas y ofrecidas o expuestas a la venta, en cualquier lugar y momento, para determinar si cumplen con los requisitos legales y reglamentarios.

2) Acceder a los lugares donde existan o se encuentren en proceso de producción semillas comerciales o certificadas.

3) Proceder alretiro de venta de toda semilla que no cumpla con los requisitos de la presente ley.

4) Requerir el auxilio de la fuerza pública en los casos que fuere necesario.

C) Asesorar el Poder Ejecutivo en materia política de semillas, emitiendo su opinión en forma previa y preceptiva al dictado de normas relacionadas con la actividad semillerista.

O) Llevar el Registro Nacional de Cultivares y el Registro General de Criaderos, Productores y Comerciantes de Semillas.

E) Mantener el Registro de Propiedad Cultivares y otorgar los títulos correspondientes,conforme a las normas nacionales y a los acuerdos internacionales, bilaterales o multilaterales.

F) Realizar la certificación de semillas nacional e internacional, observando los acuerdos internacionales, bilaterales

o multilaterales.

G) Mantener el laboratorio oficial de semillas del país, efectuando análisis, así como extendiendo los certificados correspondientes, observando los acuerdos internacionales, bilaterales o multilaterales.

H) Habilitar y auditar laboratorios privados de análisis de semillas de acuerdo a lo que establezca la reglamentación.

1) Tramitar y resolver las gestiones de importación y exportación de semillas.

J) Efectuar por sí mismo o por intermedio de terceros las comprobaciones de orden técnico que estime necesarias a efectos del cumplimiento de sus cometidos y funciones, así como las consultas o verificaciones que deban efectuarse

con organismos extranjeros de similar naturaleza. extranjeras, así como con organismos internacionales o regionales.

L) Promover la capacitación y perfeccionamiento de los agentes vinculados al sector en coordinación con los organismos nacionales de investigación y asistencia técnica.

LL) Fijar los precios por concepto de:

-Inscripciones en el Registro Nacional de Cultivares, en el Registro General de Criaderos, Productores y Comerciantes de Semillas y en le Registro de Propiedad de Cultivares. -Aranceles anuales por mantenimiento de las inscripciones en los registros precedentementes nombrados. -Rótulosde las diferentes categorías de semillas. -Análisis de semillas. -Solicitud y tasa anual de habilitación de laboratorios de análisis de semillas, de plantas de procesamiento y de otras empresas prestadoras de servicios relacionados a las semillas. -Certifícación de semillas. -Solicitud, estudios y otorgamientos de títulos de propiedad sobre cultivares. -Cualquier otro servicio prestado por el Instituto de acuerdo con la normativa vigente en materia de su competencia. Los precios fijados guardarán estricta relación con el costo de los servicios prestados.

M) Determinar y aplicar las sanciones pertinentes por infracciones a las normas regulatorias establecidas por la presente ley y su reglamentación, y fijar los montos de las multas correspondientes.

N) Ejecutar las sanciones que imponga, a cuyos efectos los testimonios de sus resoluciones firmes constituirán título ejecutivo. Son resoluciones firmes las consentidas expresa o tácitamente por el sancionado y las que denieguen el recurso de reposición previsto en el artículo 22 de la presente ley.

Ñ) Celebrar convenio de pago para el cobro de las sanciones que aplique, cuando lo considere conveniente.

Artículo 15.

La Junta Directiva, en su carácter de órgano máximo de administración del Instituto, tendrá las siguientes atribuciones:

A) Proyectar el Reglamento General del Instituto y someterlo a la aprobación'del Ministerio de Ganadería, Agricultura y Pesca.

B) Aprobar el estatuto de sus empleados dentro de los seis meses de su instalación. El mismo se regirá, en 10 previsto, por las reglas del derecho privado.

C) Designar, trasladar y destituir al personal.

D) Fijar los precios a percibir al amparo de 10 dispuesto en el literal LL) del artículo 14 de la presente ley.

E) Aprobar su presupuesto y elevarlo al Poder Ejecutivo para su conocimiento, conjuntamente con el plan de actividades.

F) Aprobar los planes, programas y los proyectos especiales.

G) Elevar la memoria y el balance anual del Instituto.

H) Administrar los recursos y bienes del Instituto.

1) Adquirir, gravar y enajenar toda clase de bienes; cuando se trate de bienes inmuebles deberá resolverse por mayoría especial de por lo menos cuatro miembros.

J) Delegar las atribuciones que estime pertinentes mediante resolución fundada y por mayoría de sus miembros.

K) En general, realizar todos los actos civiles y comerciales. dictar los actos de administración interna y realizar las operaciones materiales inherentes a sus poderes generales de administración, con arreglo a los cometidos y especialización del Instituto.

Artículo 16.

El Director Ejecutivo tendrá las siguientes atribuciones: A) Cumplir y hacer cumplir las normas vigentes en la materia de competencia del Instituto. B) Ejecutar los planes, programas y resoluciones aprobados por la Junta Directiva. C) Realizar todas las tareas inherentes a la administración del personal y a la organización interna del Instituto. D) Promover el establecimiento de relaciones con entidades nacionales vinculadas a la actividad semillerista en

general.

E) Promover el fortalecimiento de la cooperación técnica internacional con especial énfasis en la coordinación con institutos de otros países. F) Toda otra que la Junta Directiva le encomiende o delegue. Artículo 17. El Consejo Nacional de Semillas, en su carácter de órgano de consulta del Instituto Nacional de Semillas, actuará: A) Asesorando en la elaboración del Reglamento General del Instituto. B) Asesorando en la elaboración de los planes y programas en forma previa a su aprobación. C) Asesoramiento en todo aquello que la Junta Directiva le solicite. D) Opinando en toda otra cuestión relacionada con semillas, cuando lo estime conveniente. Artículo 18. La Comisión de Usuarios nominará dos de los miembros de la Junta Directiva. Actuará como órgano de referencia y consulta de los representantes por ella propuestos. Para el mejor cumplimiento de sus fines establecerá comisiones asesoras regionales por rubro o grupo de rubros, cuya integración y régimen de funcionamiento se reglamentará por el Ministerio de Ganadería, Agricultura y Pesca, atendiendo la opinión de la Comisión y procurando lograr la mayor participación de las entidades de base.

CAPITULO V Del régimen financiero Artículo 19. Constituirán los recursos del Instituto:

A) La recaudación por concepto de servicios prestados al amparo de lo dispuesto en el literal LL) del artículo 14 de la presente ley.

B) Un aporte anual del Estado con cargo a Rentas Generales de un valor por lo menos equivalente a UR 20.000 (veinte mil unidades reajustables). El Poder Ejecutivo podrá modificar esta magnitud considerando la evolución de los ingresos del Instituto.

C) Las herencias, legados y donaciones que acepte el Instituto.

D) Los valores o bienes que se le asignen al Instituto a cualquier título. E) El producido de las multas y sanciones que aplique. F) Todo otro recurso que perciba por aplicación de la legislación vigente.

CAPITULO VI Del contralor e interposición de recursos Artículo 20. El contralor administrativo del Instituto será ejercido por el Poder Ejecutivo por intermedio del Ministerio de Ganadería, Agricultura y Pesca.

Dicho contralor se ejercerá tanto por razones de juridicidad, como de oportunidad o conveniencia.

LaauditoríaInternadelaNaciónejercerálafiscalización delagestiónfinancieradelInstituto,debiendoremitirsea lamismalarendicióndecuentasybalancedeejecuciónpresupuestal dentro delosnoventadíasdelnoventadíasdel

cierre de cada ejercicio.

Lareglamentación delapresenteleydeterminarálaforma y fechade los balances,cierredelosmismosy su publicidad.Asimismo,seráaplicablelodispuestoporelartículo100delaLeyN° 16.134,de24desetiembrede 1990.

Artículo 22. Contralasresoluciones de laJuntaDirectivaprocederáelrecurso dereposició que deberáinterponersedentrode los veintedíashábilescontadosapartir delsiguientealanotificación del acto alinteresado.Unavezinterpuestoel recurso, la Junta Directiva dispondrá de treinta días hábiles para instruir y resolver el asunto.

Denegadoelrecursodereposiciónelrecurrentepodráinterponer,unicamentepor razonesdelegalidad,demandade anulación del acto impugnado ante el Tribunal de Apelaciones en lo Civil de tumo a la fecha en que dicho acto fue dictado.

La interposición de esta demanda deberá hacerse dentro del término de veinte días de notificada la denegatoría expresao, ensudefecto,delmomentoen que seconfigure ladenegatoriaficta.

Lademandadeanulación sólopodrá serinterpuestaporel titularde underecho subjetivoodeuninterésdirecto, personalylegítimo, violadoolesionadoporelactoimpugnado.ElTribunalfallaráenlaúltimainstancia.

Artículo 23. CuandolaresoluciónemanaredelDirectorEjecutivo, conjuntaosubsidiariamenteconelrecursodereposición, podrá interponerse el recursojerárquicopara ante la Junta Directiva.

Esterecursodereposicióndeberáinterponerseyresolverseenlosplazos previstos enel artículoanterior,el que tambiénregiráenlopertinenteparalaresolucióndelrecursojerárquico y parael posteriorcontralorjurisdiccional.

CAPITULO VII Disposiciones generales Artículo 24. El Instituto está exonerado de todo tipo de tributos, excepto las contribuciones de seguridad social. En lo no previsto especialmente por la presente ley, su régimen de funcionamiento será el de la actividad privada, especialmente en cuantoasucontabilidad,estatutode su personaly contratos quecelebre.

Artículo 25. LosbienesdelInstitutosoninembargablesysuscréditos,cualquierafueresu origen,gozandelprivilegio establecido en el numeral 6° del artículo 1732 del Código de Comercio.

Artículo 26. ElpersonaltécnicoyespecializadodelInstitutoseráseleccionadopor concurso de oposición,deméritoso de oposicióny méritos,segúncorresponda,para sucontrataciónpor períodos nomayores de cincoaños ni menores de dos,renovables enlascondicionesqueestablezcaelestatutoaquerefiere el literal B) del artículo15de lapresente ley. El resto del personal .~p' 1 contratado por el sistema de selección que prevea el estatuto, atendiendo a las. característicasde cada categoría.

Artículo 27. La información obtenidapor normal funcionamiento del Instituto debe ser manejada con especial y estricta reserva. LaJuntaDirectivareglamentarálosmecanismosde divulgación de la información.

CAPITULO VIII Disposiciones transitorias Artículo 28. La personajurídica que se crea será sucesora de los cometidos y atribuciones asignados a la Unidad Ejecutora de SemillasdelMinisteriodeGanadería,AgriculturayPesca(artículo3°delDecreto-LeyN° 15.173,de 13deagosto

Los bienes muebles e inmuebles afectados a la Unidad Ejecutora de Semillas pasarán de pleno derecho al Instituto Nacional de Semillas en lo que corresponde a los cometidos y atribuciones transferidas, de acuerdo con la reglamentación.

Artículo 29. Los funcionarios públicos, presupuestados o contratados, que a la fecha de la presente ley revistaren en la dependencia señalada en el artículo 28, cumpliendo funciones preferentemente en el área de semillas, podrán pasar a desempeñar tareas en el Instituto o, en su defecto, ser redistribuidos en otras reparticiones de la Administración Pública.

A tales efectos, dentro de los sesenta días siguientes a la instalación del Instituto, el Ministerio de Ganadería, Agricultura y Pesca dispondrá el pase en comisión de dicho de personal por seis meses prorrogables por igual plazo, . al término del cual el Instituto seleccionará, mediante criterios objetivos, a quienes vaya a incorporar, siguiéndose

las siguientes reglas: -Los funcionarios seleccionados podrán optar entre pasar a desempeflar tareas en el Instituto ser redistribuidos. En este último caso el Ministerio de Ganadería, Agricultura y Pesca podrá redistribuirlos dentro de sus Unidades Ejecutoras o declararlos excedentes para su redistribución, de acuerdo con lo dispuesto en los artículos 15 a 31 de la Ley N° 16.127, de 7 de agosto de 1990. -Cuando el funcionario seleccionado manifieste su voluntad de incorporarse al Instituto deberá suscribir el correspondiente contrato de trabajo conforme al estatuto a que refiere el literal B) del artículo 15 y renunciar a la función pública. -No obstante, podrá solicitar licencia sin goce de sueldo por hasta seis meses en el cargo público y suscribir un contrato a prueba con el Instituto por igual término, al cabo del cabo del cual, de no acordarse la incorporación al mismo y renuncia a la función pública, perderá la calidad de seleccionado y continuará prestando actividades en la función pública. -Una vez incorporado el funcionario definitivamente al Instituto, su cargo o función será automáticamente suprimido.

TITULO n DE LA SEMILLA CAPITULO 1 Objeto Artículo 30. El presente Título tiene por objeto regular la producción, certificación, comercialización, exportación e importación de semillas, asegurando a los productores agrícolas la identidad y calidad de las mismas.

CAPITULO n Disposiciones generales Artículo 31. Las semillas que se produzcan, comercialicen o se transporten dentro del país serán caracterizadas como certificadas o comerciales. Las mismas se defmirán y se ajustarán en cuanto a su producción, comercialización y normas de calidad de acuerdo a la reglamentación que dicte el Poder Ejecutivo.

Artículo 32. La reglamentación de la presente ley dispondrá las normas a que se deberán ajustar las inspecciones de campo, de planta de procesamiento, la toma de muestras, los poscontroles y los análisis de semillas.

Artículo 33. Los procedimientos para determinar tolerancias, las tolerancias permitidas, las constancias que los vendedores de semillas deban entregar a los compradores, las condiciones de los envases y las características de las etiquetas y sellos no previstas en la presente ley serán fijados en la reglamentación.

Artículo 34. Facúltase al Instituto Nacional de Semillas para habilitar y auditar laboratorios privados de análisis de semillas. plantas de procesamiento y otras empresas o técnicos prestadores de servicios relacionados a las semillas, de acuerdo con lo que establezcan la reglamentación, la que también determinará las normas y condiciones de funcionamiento a las que deberán ajustarse dichas actividades.

Artículo 35.

vigentes. El Poder Ejecutivo al reglamentar la presente disposición fijará la fecha de vigencia de la misma.

Artículo 36. Los análisis y términos analíticos usados estarán de acuerdo con las reglas internacionales para ensayos de semillas de la Asociación Internacional de Análisis de Semillas y las normas sustitutivas o ampliatorias que dicte el Ministerio de Ganadería, Agricultura y Pesca a propuesta del Instituto Nacional de Semillas.

Artículo 37. Cuando los valores del análisis estén fuera de los que preceptúan las reglamentaciones en materia de pureza, las semillas para ser ofrecidas en venta deberán reclasificarse bajo el control del Instituto Nacional de Semillas, con el fin de lograr valores aceptables.

Cuando no procediere la reclasificación, el Instituto Nacional de Semillas podrá disponer su utilización como producto de consumo, su industrialización o su destrucción.

Artículo 38. Las instituciones semilleristas que produzcan semillas serán responsables, frente a terceros y frente al Instituto Nacional de Semillas, de que la calidad de la semilla se ajuste a las normas establecidas en la presente ley y su reglamentación, y de la exactitud de las menciones contenidas en los rótulos y envases de semilla, mientras la misma sea vendida y ofrecida en venta por ellas, o cuando fuese vendida u ofrecida en venta por terceros y se comprobare la responsabilidad de dichas instituciones semilleristas. En los demás casos la responsabilidad será del comerciante vendedor.

Articulo 39. En casos excepcionales, atendiendo a la posibilidad práctica de que las exigencias establecidas en la reglamentación del presente Titulo no puedan ser cumplidas y por razones fundadas el Ministerio de Ganadería, Agricultura y Pesca, a propuesta del Instituto Nacional de Semillas, podrá diferir, total o parcialmente, la aplicación de las mismas.

Articulo 40. Si el consumidor tiene dudas acerca de la genuinidad, pureza, germinación o tratamiento indicado en los rótulos de las semillas que hubiere comprado podrá solicitar la comprobación oficial al Instituto Nacional de Semillas, en la forma que determine la reglamentación respectiva. Las reclamaciones sobre pureza, germinación y tratamientos se deberán formular dentro de los treinta días siguientes a la recepción de la partida Yantes de la siembra. Cuando se refieran a la genuidad, las reclamaciones se podrán efectuar mientras no se haya iniciado la cosecha.

Si se comprobara que la reclamación es fundada, el vendedor estará obligado a reembolsar al comprador el precio de la semilla y el flete, sin perjuicio de las sanciones que establece la presente ley.

El comprador estará obligado a devolver la semilla que no haya sembrado, con los envase respectivos, siendo los gastos que demande esta medida de cargo del vendedor.

CAPITULO In Prohibiciones Articulo 41. Queda prohibido comercializar cualquier semilla:

1) A granel, una vez procesada. 2) Cuyo análisis de germinación exceda los plazos previstos por la reglamentación respectiva. 3) Con menciones agregadas en el envase o rótulo que no estén expresamente autorizadas por la reglamentación. 4) Con rótulo propaganda de que una u otra manera induzca a error sobre las cualidades y condiciones de las semillas o no se ajuste a las normas que se establezcan. 5) Que no cumpla con los requisitos, tolerancias y demás condiciones específicas que establezca la reglamentación de la presente ley, a tales efectos.

El Instituto Nacional de Semillas reglamentará las condiciones en que se efectuará el transporte de las semillas que se encuentren en las situaciones previstas por el presente artículo.

Articulo 42. Queda igualmente prohibido durante el proceso de comercialización o transporte de semilla:

1) Desprender, alterar, mutilar o destruir cualquier rótulo aplicado conforme a la presente ley. 2) Utilizar en cualquier rótulo o propaganda el término "tipo" en relación con el nombre de la semilla. 3) Mover, manipular o disponer de los lotes de semillas retirados de venta, o sus rótulos, sin autorización escrita del

Instituto Nacional de Semillas.

CAPITULO IV Registro Nacional de Cultivares Artículo 43. Créase el Registro Nacional de Cultivares, bajo responsabilidad del Instituto Nacional de Semillas. Sólo estará permitido certificar y comercializar en el país a los cultivares inscriptos en el referido Registro. La reglamentación podrá establecer excepciones en relación a las especies a las que se les requiere la inscripción en el Registro para ser comercializadas.

Aquellos cultivares inscriptos al amparo del Decreto-Ley N° 15.173, de 13 de agosto de 1981, de su Decreto reglamentario 84/983, de 24 de marzo de 1983, y sus Decretos modificativos 418/987, de 12 de agosto de 1987, y 519/991, de 17 setiembre de 1991, se considerarán inscriptos en el Registro creado por el presente articulo.

Artículo 44. Los cultivares que se inscriba en el referido Registro deberán:

1) Poseer un nombre propio, caracteristico, que impida su confusión con otra variedad ya inscripta o induzca a error acerca de las cualidades de la semilla 2) Tratándose de cultivares extranjeros, los mismos deberán mantener su nombre original. 3) Poder diferenciarse de otros cultivares ya inscriptos. 4) Ser suficientemente homogéneo en el conjunto de sus caracteres de acuerdo con su sistema de reproducción o multiplicación y reunir condiciones de estabilidad que permitan su identificación. 5) Poseer evaluación nacional. 6) Ser patrocinados por ingenieros agrónomos u otro profesional con formación equivalente. A efectos del requerimiento de evaluación nacional, la reglamentación que dictará el Instituto Nacional de Semillas establecerá los periodos o ciclos de cultivo requeridos según la especie en cuestión, asi como podrá establecer excepciones en relación a las especies a las que se le requiere la misma.

Artículo 45.

La evaluación de cultivares a los efectos de su aceptación en el Registro Nacional de Cultivares, estará a cargo del

Instituto Nacional de Semillas, pudiendo realizar las comprobaciones técnicas directamente o a través de otras

instituciones nacionales públicas o privadas. Las comprobaciones técnicas continuarán siendo efectuadas por el

Instituto Nacional de Investigación Agropecuaria hasta tanto elInstituto Nacional de Semillas pueda asumir tal

cometido, según resolución fundada del Ministerio de Ganadería, Agricultura y Pesca.

Artículo 46. El Instituto Nacional de Semillas determinará qué especies deberán salir a la venta con identidad varietal.

Artículo 47. La inscripción en el Registro podrá revocarse:

1) Si se comprobara que el cultivar ha perdido las condiciones en base a las cuales fue inscripto. 2) Por falta de pago del arancel anual en el Registro Nacional de Cultivares mediando un periodo de tres meses desde el reclamo fehaciente de pago.

Artículo 48. El Registro Nacional de Cultivares se renovará anualmente.

Artículo 49. El Instituto Nacional de Semillas negará, mediante resolución fundada, la inscripción en el Registro cuando el cultivar propuesto pueda afectar el ecosistema.

Artículo 50. Cuando la demanda externa lo justifique, el Instituto Nacional de Semillas podrá otorgar la calidad de "semilla exclusivamente para exportación" a lotes de semillas de cultivares no inscriptos en el Registro Nacional de Cultivares. Asimismo, determinará cuáles serán los requisitos minimos y las equivalencias que deberán cumplirse para que de éstos se pueda producir semillas en el pais.

CAPITULO V Semilla certificada Artículo 51. El Instituto Nacional de Semillas será responsable de la certificación de las semillas y tendrá los siguientes cometidos:

1) Supervisar todas las etapas del proceso de certificación. 2) Controlar por sí mismo o a traves de terceros la producción de semillas. 3) Disponer de un registro de existencia de semillas. 4) Diseñar rótulos de certificación para las distintas variedades y categorías y otorgarlos a los lotes que cumplan con los requerimientos establecidos. 5) Controlar la identidad y pureza varietal de los lotes de las distintas categorías de semillas a través de la siembra de muestras en parcelas de comprobación. La reglamentación de la presente ley establecerá las normas generales y los procedimientos para la fijación de las disposiciones específicas a utilizarse en la certificación de semillas.

Artículo 52. La certificación de materiales de propagación vegetativa será realizada por el Instituto Nacional de Semillas podrá celebrar convenios con otras instituciones nacionales públicas o privadas.

CAPITULO VI Importación y exportación Artículo 53. La importación de semillas requerirá autorización previa otorgada por el Instituto Nacional de Semillas. La reglamentación podrá eximir del citado requisito a semillas producidas por aquellos países con los que se mantengan acuerdos recíprocos en la materia.

Artículo 54. La reglamentación establecerá los requisitos que deban cumplir las semillas que importen, de conformidad con las tolerancias establecidas para el comercio interno y los acuerdos internacionales y regionales suscritos por el país en la materia.

Artículo 55. Toda semilla que se desee importar deberá venir acompañada de los certificados de origen y fitosanitario, así como de la información y de los rótulos que la reglamentación establezca.

Artículo 56. No se podrá dar curso a permisos de despacho de semillas que se presenten con cargo a las denuncias de importación en los que no conste la intervención previa en el permiso de despacho del Instituto Nacional de Semillas.

Artículo 57. No se podrán retirar lotes de semillas del recinto aduanero sin el previo control documental del Instituto Nacional de Semillas de los certificados de calidad que la reglamentación establezca como válidos o, en su defecto, sin el previo análisis de calidad del laboratorio competente del Instituto Nacional de Semillas, sin perjuicio de las excepciones que, sobre el particular, establezca la reglamentación respectiva.

La Dirección Nacional de Aduanas no practicará análisis de semillas y estará a los que efectúe el Instituto Nacional de Semillas.

Artículo 58. El Instituto Nacional de Semillas podrá autorizar el despacho de partidas de semillas que a su arribo no se ajusten a los padrones vigentes, a condición de que los interesados las sometan a tratamiento de purificación en establecimiento autorizado y bajo control del Instituto Nacional de Semillas.

Artículo 59. La importación de semillas destinadas a ensayos, estudios y experiencia estará sometida a las normas especiales que establezca la reglamentación.

Artículo 60. Los productos importados para la industrialización, consumo o cualquier otro destino ajeno a la siembra, no podrán ser usados como semillas o transferidos para ser usados como semillas.

A) Exonerar, total o parcialmente de tributos a la importación de semillas, sin perjuicio de la aplicación de lo previsto en los literales A) y C) del artículo 2° de la Ley N° 12.670, de 17 de diciembre de 1959, en relación a los productos competitivos de la producción nacional, como así también de la aplicación del literal A)del artículo 4° del Titulo 6 del Texto Ordenado 1979, modificado por el Decreto. Ley W 15.132, de 7 de mayo de 1981. B) Conceder subsidios a las semillas cuando lo considere conveniente, dentro del marco de los acuerdos de la Organización Mundial de Comercio, aprobados por la Ley N° 16.671, de 13 de diciembre de 1994.

Artículo 62. Facúltase al Poder Ejecutivo, por vía del Ministerio de Ganadería, Agricu y Pesca, en consulta con el Instituto Nacional de Semillas, a suspender temporalmente las exportaciones de semillas cuando ello afecte las necesidades del país.

CAPITULO VII Registro General de Criaderos, Productores y Comerciantes de Semillas Artículo 63. Las actividades descriptas en el numeral 9) del artículo 82 de la presente ley, así como la producción con fines comerciales, procesamiento, almacenamiento, distribución, venta, importación y exportación de semillas sólo podrán efectuarse por quienes se hayan inscripto en el Registro General de Criaderos, Productores y Comerciantes de Semillas que a tales efectos llevará el Instituto Nacional de Semillas.

Aquellos inscriptos al amparo del Decreto-Ley N° 15.173, de 13 de agosto de 1981, y de su reglamento, Decreto 84/983, de 24 de marzo de 1983, y sus Decretos modificativos 418/987, de 12 de agosto de 1987, y 519/991, de 17 de setiembre de 1991, se considerarán inscriptos en el registro creado por el presente artículo.

Artículo 64. El Poder Ejecutivo reglamentará las condiciones de funcionamiento de las personas fisicas de las personas fisicas o juridicas que se dediquen a la creación, mejoramiento e introducción de materiales fitogenéticos, así como a la producción, análisis, procesamiento, almacenamiento, distribución, venta, importación y exportación de semillas.

Artículo 65. Los criadores, productores, semilleros, laboratorios, procesadores, importadores y exportadores de semillas deberán desarrollar su actividad bajo la responsabilidad técnica de un profesional ingeniero agrónomo u otro profesional con formación equivalente, los que deberán registrarse en el Instituto Nacional de Semillas.

TITULO III DEL DERECHO DE PROPIEDAD A LAS OBTENCIONES VEGETALES CAPITULO 1 Objeto Artículo 66. El presente Título tiene por objeto regular la protección de la propiedad de nuevos cultivares.

CAPITULO 11 Registro de Propiedad de Cultivares Artículo 67. El Instituto Nacional de Semillas llevará el Registro de Propiedad de Cultivares cuyo objetivo será el de reconocer Y garantizar un derecho al obtentor de una variedad vegetal nueva, mediante la concesión y registro de un título de propiedad, de conformidad con el Convenio Internacional para la Protección de las Obtenciones Vegetales, suscrito en París e12 de diciembre de 1961, y modificado por actas adicionales firmadas en.Ginebra ellO de noviembre de 1972 y e123 de octubre de 1978, aprobado por la Ley N° 16.580,de21 de setiembre de 1994.

Los titulares de derechos de propiedad otorgados e inscriptos al amparo del Decreto-Ley N° 15.173, de 13 de agosto de 1981, y de su reglamento, Decreto 84/983, de 24 de marzo de 1983, y sus Decretos modificativos 418/987, de 12 de agosto de 1987, y 519/991, de 17 de setiembre de 1991, se considerarán inscriptos en el registro creado por el presente artículo, manteniendo la continuidad de sus derechos. propiedad provisorios y definitivos.

CAPITULO III Condiciones requeridas al cultivar Artículo 69. Para que un cultivar pueda ser objeto de la protección deberá reunir los siguientes requisitos: A) Ser nuevo (se entiende por tal que no haya sido ofrecido en venta ni comercializado con el consentimiento del creador): 1) Dentro de la República, antes de la fecha de presentación de la solicitud de protección. 11) Fuera de la República, durante más de seis años en el caso de vides y árboles o de más de cuatro años en el caso de todas las otras plantas. No se considerará perjudicial a efectos de la novedad de un cultivar, el hecho que éste haya sido ofrecido en venta o comercializado en el país, con el consentimiento del creador, durante un período de hasta cuatro años anteriores a la determinación de que sea objeto de la protección la especie a que pertenezca el cultivar, siempre que la solicitud de protección la especie a que pertenezca el cultivar, siempre que la solicitud de protección sea presentada antes del período de hasta cuatro meses después de la determinación del Instituto Nacional de Semillas. B) Ser claramente diferenciables de cualquier cultivar cuya existencia sea de conocimiento común en la fecha de presentación de la solicitud, respecto de por lo menos una característica morfológica, fisiológica, citológica, química u otra importante, poco fluctuante y susceptible de ser descrita y reconocida por precisión. e) Ser suficientemente homogéneo en el conjunto de sus caracteres de acuerdo con su sistema de reproducción o multiplicación. D) Permanecer estable en sus caracteres esenciales, o sea que al final de cada ciclo de multiplicación realizado en la forma indicada por su creador mantendrá las características por las que éste lo definió. E) Haber recibido una denominación que sea aceptable para el registro en virtud de lo que establezca la reglamentación.

CAPITULO IV Ambito de protección Artículo 70. Los titulares de derechos de propiedad sobre cultivares, inscriptos en el Registro de Propiedad de Cultivares, gozarán de los derechos y facultades correspondientes al derecho de dominio regulado por el Código Civil, sin perjuicio de lo establecido en el artículo 73 de la presente ley.

Aquellos negocios que signifiquen modificaciones o afectaciones al derecho de cultivares inscriptos deberán ser inscriptos en dicho Registro, para ser eficaces frente a terceros.

Artículo 71. El título de propiedad debidamente inscripto en el Registro de Propiedad de Cultivares, habilitará a su titular a celebrar, respecto a su derecho de propiedad, todos los negocios jurídicos legalmente admisibles, confiriendo a su tenedor el derecho exclusivo o el sometimiento a su autorización previa, para la introducción al país, la producción con fines comerciales, la puesta a la venta, la comercialización en el país y al extranjero, o la donación, de acuerdo a la presente ley y su reglamentación, de los elementos de reproducción sexuada o de multiplicación vegetativa, en su calidad de tal del cultivar en cuestión.

CAPITULO V Excepciones a los derechos protegidos Artículo 72. El cultivar objeto del título de propiedad podrá ser usado sin que otorgue derechos a su tenedor a compensación alguna cuando:

A) Se use o se venda el producto obtenido de cultivo como materia prima o alimento. B) Se reserve y siembre semilla para uso propio pero no para comercializar. e) Cuando otros creadores lo usen con fmes experimentales o como fuente de material genético para la creación de nuevos cultivares, a condición de que el cultivar protegido no sea utilizado en forma repetida y sistemática para la producción comercial de otros cultivares.

CAPITULO VI El Poder Ejecutivo podrá declarar un título de propiedad de "Uso Público" por un período no mayor de dos años mediante previa y adecuada compensación al propietario, cuando entienda de interés general disponer del producto

obtenido de su cultivo.

Artículo 74. El Poder Ejecutivo podrá disponer la posesión urgente del producto obtenido de un cultivar declarado de "Uso Público" conforme a 10 previsto por el artículo 19 del Decreto-Ley N° 15.173, de 13 de agosto de 1981. A tales efectos se seguirá el procedimiento establecido por el artículo 3° de la Ley N° 10.247, de 15 de octubre de 1942.

CAPITULO VII Duración de la protección Artículo 75. El plazo de validez del título de propiedad regirá a partir del momento de su expedición provisorio, y no podrá ser menor de quince años ni mayor de veinte años de acuerdo con la especie considerada y según lo que estab lezca la reglamentación.

CAPITULO VIII Trato nacional y derecho de prioridad Artículo 76. Los creadores radicados en el extranjero, gozarán de iguales derechos que los creadores radicados en la República, siempre que la legislación del país de radicación reconozca y proteja sus derechos como creadores.

Artículo 77. Cuando un creador radicado en el extranjero desee inscribir un cultivar, deberá:

A) Constituir, para tales efectos, domicilio legal en el Uruguayo nombrar un representante autorizado en el país. B) Acompañar en la pertinente solicitud antecedentes oficiales debidamente autenticados en el país de origen que lo acrediten estar en condiciones de inscribir el cultivar. C) Comprometerse a cumplir todas las disposiciones legales y normas reglamentarias uruguayas sobre la propiedad de cultivares. Cuando un creador radicado en el extranjero, en un país que sea parte en un acuerdo bilateral o multilateral con Uruguay en la materia, ha presentado una o más solicitudes para registrar un cultivar en uno o más de esos Estados, gozará en la República de un plazo de prioridad de doce meses contados a partir de la fecha de presentación de la primera solicitud. La solicitud en la República será considerada como si hubiera sido realizada en la fecha de presentación de esta primera solicitud.

CAPITULO IX Revocación o caducidad de Jos derechos protegidos Articulo 78. El título de propiedad de un cultivar se revocará o caducará, según el caso, por los siguientes motivos:

A) A petición del propietario. B) Por finalización del período legal de la protección de la propiedad. C) Cuando hayan dejado de mantenerse las condiciones de homogeneidad y estabilidad establecidas en los literales C) y D) del artículo 69 de la presente ley. D) Cuando, a requerimiento del Instituto Nacional de Semillas, el tenedor no sea capaz de proporcionar material de reproducción que permita producir el cultivar tal y como fue definido en el momento de otorgarse el título. E) Cuando se demostrare que el título ha sido obtenido por fraude a terceros. F) Cuando el Instituto Nacional de Semillas demostrare, en forma fehaciente, que al concederse el título de propiedad el cultivar no reunía los requisitos exigidos en los literales A) y B) del artículo 69 de la presente ley. G) Por falta de pago del arancel anual en el Registro de Propiedad el Cultivares, mediando un período de tres meses desde el reclamo fehaciente de pago.

Artículo 79. Un cultivar amparado por el título de propiedad pasará a ser de uso público cuando caduque por las razones definidas en los literales A), B), F) y G) del artículo anterior y cuando en el caso definido en el literal E) no sea posible jurídicamente transferir el derecho a su legítimo propietario.

Artículo 80.

CAPITULO X Tutela de los derechos protegidos Artículo 81. Serán aplicables, para la tutela de los derechos de la propiedad de los creadores de nuevos cultivares, las normas de los artículos 311 y siguientes del Código General del Proceso y, en lo pertinente, los artículos 40 a 44 de la Ley N° 9.956, de 4 de octubre de 1940, sobre Marcas de Fábrica, Comercio y Agricultura. El que ponga a la venta o comercialice, sin autorización de su titular, material de reproducción sexual o de multiplicación vegetativa, en su calidad de tal, de cultivares inscriptos en el Registro de Propiedad de Cultivares será castigado con multa equivalente a diez veces el valor de las ventas que haya efectuado.

TITULO IV DEFINICIONES, SANCIONES, VIGENCIAS Y DEROGACIONES CAPITULO 1 Definiciones Artículo 82. A efectos de la aplicación de la presente ley y su reglamentación, salvo especificación en contrario, rigen las siguientes definiciones.

1) La palabra "semilla" significa toda estructura vegetal usada con propósitos de siembra o propagación de una especie. 2) El término "especie" significa unidades taxonómicas de organización que integran individuos aislados de otros por barreras reproductivas, que de este modo mantienen características propias y diferenciables o sistemas de poblaciones aisladas entre sí por discontinuidades en el tipo de variación, que deben tener una base genética. 3) El término cultivar indica un conjunto de plantas cultivadas que se distingue de las demás de su especie por cualquier característica (morfológica, fisiológica, citológica, química u otras) y que al reproducirse sexuada o asexuadamente mantienen las características que le son propias. El término "variedad" cuando se utiliza para indicar una variedad cultivada es equivalente al de "cultivar". 4) El término "híbrido" indica un cultivar proveniente de cruzamiento controlado de padres lo suficientemente uniformes como para repetir la producción sistemática del mismo sin cambios en su constitución. 5) Se considera "híbrido de primera generación" a todo cultivar obtenido del cruzamiento entre material parental selecto de cuya primera generación por efecto del "vigor híbrido" se obtiene una producción superior que no se mantiene en las generaciones siguientes debido a la segregación genética. 6) La expresión "proceso de certificación" se aplica a la serie de operaciones, supervisadas por el Instituto Nacional de Semillas, qué se suceden para llegar a la obtención de la semilla certificada acondicionada para la venta con los controles técnicos establecidos. 7) La expresión "certificación de semillas" se aplica al acto de garantizar que se trata de semillas que han cumplido el cumplido el proceso de certificación, en acuerdo con las normas de la presente ley y su reglamentación, mediante el cual los terceros pueden conocer en forma cierta la pureza varietal y la calidad de determinados lotes de semillas.

8) La expresión "semilla comercial" significa cualquier semilla que se ofrezca a la venta sin haber cumplido o alcanzado los requerimientos establecidos para la certificación de semillas pero que reúne las condiciones establecidas por la presente ley y su reglamentación. .

9) El término "criadero" significa todo establecimiento que se dedique a la creación, introducción, mejoramiento o evaluación de especies y cultivares para la producción y venta de semillas. 10) El término "creador" significa la persona fisica o jurídica que dirigió el proceso de creación de un nuevo cultivar. 11) El término "semillero" significa todo establecimiento que se dedique a la multiplicación y venta de semilla. 12) El término "lote" significa una cantidad definida de semilla, identificada por un número u otra marca que ha sido manipulada para que cada porción sea representativa del lote. 13) El término "rótulo" se refiere a la información impresa en una tarjeta fija o contenida en el envase y a la información impresa en el propio envase. 14) El término "propaganda" comprende todas las especificaciones, condiciones, características y demás informaciones relativas a la semilla, además de las indicadas en el rótulo que son difundidas al público o al consumidor por vías diversas. 15) El término "tratada" significa que la semilla ha recibido la aplicación de una sustancia o método para controlar o repeler enfermadades, organismos, insectos u otras pestes que atacan las plantas o que ha recibido otro tratamiento a fin de mejorar su valor para la siembra. 16) El término "mezcla" significa el conjunto de semillas de dos o más especies siempre que ninguna de ellas alcance el requerimiento mínimo pureza que la reglamentación establezca para ser considerada una especie sola. 17) El término "procesamiento" significa limpieza, clasificación, mezclado, tratamiento químico o físico, envasado o

Artículo 83. Para los aspectos no contemplados en las precedentes definiciones se seguirán los criterios establecidos por la Asociación Internacional de Análisis de Semillas.

CAPITULO n Infracciones y sanciones Artículo 84. Lajunta DirectivadelInstitutoNacionalde Semillasseráel órganoencargadode aplicarlassancionespor infracciones alasnormasvigentesen lamateriade semillas y de protección a las obtenciones y vegetales, correspondiendo alDirectorEjecutivodelInstitutoNacional de Semillaslainstrumentacióndelasmismas.

El procedimiento aplicable en estos casos será materia de la reglamentacíón.:

Artículo 85. Las infracciones a que hace referencia al artículo anterior, atendiendo a la gravedad de la infracción y a los antecedentes del infractor, serán sancionados con: A) Apercibimiento. B)MultadesdeUR20 (veinteunidadesreajustables)hasta UR2.000(dosmil unidadesreajustables). C) Decomiso de la mercadería o de los elementos utilizados para cometer la infracción. D) Destrucción de la mercadería cuando corresponda. E)Suspensióndelinfractoren elregistrocorrespondiente. F) Inhabilitación temporal o permanente. G) Clausuraparcialototal,temporalopermanentede loslocalesdela empresa,seanpropioso deterceros,sean destinadosa depósito, a procesamiento, a comercialización, a laboratorio de análisis o a cualquier otra actividad vinculadacon la producción o el comercio de semillas. Sifueradelcaso,laclausurapodráalcanzar solamenteaaquelloslocalesaaquelloslocalesdedicadosa una actividad específica.

Lassancionesprecedentemente establecidaspodránaplicarseenformaacumulativay atendiendoalagravedadde la infracción, al valor de la mercadería ya los antecedentes del responsable.

Artículo 86. Lostécnicosresponsables ingenierosagrónomosu otrosprofesionalesconformaciónequivalentea quehace referenciaelartículo65,queinfringieronlasnormasestablecidasen lapresenteley y sureglamentación,serán pasibles de las siguientes sanciones:

1) Apercibimiento. 2) Las multas prevista en el artículo precedente. 3) suspensión por el término de hasta un año para actuar como técnicos en materia de semillas. Lassancionessegraduarány aplicaránteniendo encuentalascaracterísticasy gravedaddelas faltas,el gradode culpabilidady el carácter de reincidencia del autor. El Instituto Nacional de Semillas llevará un registro de infractores.

Lasempresasseránresponsables solidariamenteporlas sancionespecuniariasquese imponganadichostécnicos.

CAPITULO lIT Vigencias y derogaciones Artículo 87. HastalaaprobacióndelareglamentacióndelosartículosincluidosenlosTítulosIl, IIIyIVdelapresenteley, regiránconvalordenormasreglamentariaslas normasestablecidaspor elDecreto84/983, de 16 de marzo de 1983, ysusDecretosmodificativos508/984,de14denoviembrede1984,67/985, de6defebrerode1985,418/987,de12 deagostode 1987,528/990,de 14de noviembrede 1990,y 519/991,de 17de setiembrede 1991.

Artículo 88. Deróganse los Decretos-Ley Nos.15.173, de 13 de agosto de 1981, y 15.554, de 21 de mayo de 1984, así como toda otra disposición legal que se oponga a la presente ley.

SaladeSesionesdelaCámarade Representantes,enMontevideo,a 19dediciembrede 1996.

JORGE MACHIÑENA, Presidente. Martín García Nin, Secretario.

MINISTERIO DE GANADERIA, AGRICULTURA Y PESCA. MINISTERIO DE ECONOMIA y FINANZAS.

Montevideo, 21 de febrero de 1997.

Cúmplase, acúsese recibo, comuníquese, publíquese e insértese en el Registro Nacional de Leyes y Decretos.

SANGUINETTI. CARLOS GASPARRI. LUIS MOSCA.

Montevideo, abril de 1998. Poder Legislativo.


Législation Se rapporte à (1 texte(s)) Se rapporte à (1 texte(s)) est modifié(e) par (1 texte(s)) est modifié(e) par (1 texte(s)) Référence du document de l'OMC
IP/N/1/URY/P/2
Aucune donnée disponible

N° WIPO Lex UY017